« C’est vrai que depuis la reprise et un petit peu avant la trêve également, nos chiffres offensifs sont bas. Trop bas, plus bas que ce qu’on devrait avoir. On s’attache assez concrètement à ce que dans notre approche collective, on puisse amener plus facilement et terminer plus facilement nos situations. Il faut qu’on soit plus dangereux, c’est une vérité absolue et on est pour l’instant insatisfaits. On a eu des périodes qui ont très bien tourné, où on était productifs, prolifiques. Maintenant, c’est plus dur. Il faut remettre le contexte, on a joué contre Bordeaux, le Paris FC, Sochaux… C’est obligé que les chiffres soient réduits vis à vis de la qualité de l’adversaire, mais voilà. On s’intéresse à ce que l’on fait de manière objective et quand il y a des choses qui doivent être améliorées, on en est conscients également. On l’a vu avec les garçons, il y a de la place pour faire mieux. »

« Ils n’ont pas de point faible. Ils marquent des buts et ils n’en prennent pas. Ils sont invaincus depuis 16 rencontres en championnat. On n‘a rien à perdre. L’avantage, c‘est qu‘on n‘a pas le temps de cogiter après Metz. C‘est un bon match à jouer. Toutes les séries sont faites pour être cassées. Pourquoi pas nous ? »
« Je ne vais pas tout révolutionner. Je n’ai pas les armes pour. J’ai été sévère dans le vestiaire après le match mardi, et plus dans l‘encouragement mercredi et jeudi. J‘ai aussi vu plusieurs joueurs individuellement. Tout le monde est responsable. Au Havre, il faudra être adroit devant le but. Mais on ne refusera pas le jeu. »