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« Compte tenu du retard que nous avons, on n’a pas le droit à l’erreur. Il faut rester au contact du groupe de devant le plus possible. Il y a un écart, l’idéal ça sera déjà de ne pas l’augmenter et si possible revenir un petit peu sur les équipes de devant. On a de quoi faire, il faut plutôt voir le positif, le retour de Jamal Thiaré tombe à point nommé. Le savoir sur le banc, c’est intéressant. »
Contre Nancy, c’était un peu plus sérieux que contre QRM. Quand on regarde sur le papier les joueurs qui la composent (l’équipe de Nîmes, ndlr.), beaucoup on joué en Ligue 1. Sur le plan offensif vous avez Koné, Omarsson, je connais leur valeur. Il y a Ferhat, Eliasson, Benrahou, ce sont des joueurs de talent. L’équipe se retrouve dans le ventre mou parce qu’elle a traîné en route, mais quand même ! On a l’objectif de rester devant ces équipes, de revenir sur ceux qui sont devant, mais il ne faut pas oublier la qualité des équipes qu’on va rencontrer cette semaine. »

« Quand on parle d’état d’esprit, je n’ai aucun reproche à faire aux joueurs. C’est simplement la recherche de cohésion et la force de notre groupe que l’on doit développer. On a eu une bonne semaine de travail après un match où il y avait quelque détails à régler. C’est un groupe avec lequel il faut beaucoup discuter. De temps en temps, il faut faire les piqûres de rappel sur ce que l’on attend, sur les attitudes à avoir en match ou à l’entraînement. Il faut que l’on travaille notre solidité défensive, c’est le mot d’ordre. »
A propos du maintien de son club, qui semble presque acquis puisque Nîmes compte 36 points : « Non, je ne vous l’affirme pas, c’est une question d’arithmétique. Il faut qu’on reste cartésien, il manque des points. A partir du moment où il manque ces points, même s’il y a beaucoup de matchs derrière, il faut aller les chercher le plus vite possible. L’idée, c’est de prendre ces points pour qu’on puisse se projeter. Il y a des joueurs qui sont dans une démarche de projection sur le plan individuel, nous aussi on a envie d’avoir ces points là pour pouvoir anticiper ce qu’il va se passer à l’avenir. »

Quand on veut gagner un match on s en donne les moyens, la vérité c est que toutes les composantes de ce club se satisfont de cette situation acquérir le maintien, faire semblant que cette année est possible, puis revendre les meilleurs joueurs ou pire les laisser partir gratuitement...
Éternel recommencement, avec un président absent qui semble se moquer littéralement de la situation, hac is back...
Les dirigeants passent, les joueurs passent ,et nous les supporters, nous serons toujours la , le Hac c nous

« J’imagine la frustration du Havre, qui a fait un très bon match. Le football c’est comme ça : parfois on est dominé et on arrive à enlever la mise. Ce soir (samedi), on n’a pas été très beau, ils ont eu les occasions, la possession, la maîtrise, mais l’objectif a été atteint : on n’a pas pris de but. Et en plus, on en a mis un… On ne peut pas toujours être brillant et élégant. Cette fois, j’avais dit aux joueurs que je voulais une équipe de chiens sur le terrain. Ils l’ont été, et je suis satisfait. »

Dans la même veine, le quotidien régional rapporte les mots de l’adjoint de Nicolas Usaï, Christophe Raymond à Paul Le Guen, l’entraîneur du HAC, à la sortie des vestiaires : « Désolé pour le hold-up, Paul… »

« Très dur de sortir de ce match avec une défaite. On a fait ce qu’il fallait pour que ce ne soit pas le cas, beaucoup d’efforts, beaucoup d’occasions. Mais finalement, Nîmes l’emporte… C’est dur à encaisser. On a fait un match plein, il nous a manqué le réalisme, mais il n’y a pas grand-chose à reprocher aux joueurs. C’est dommage, on avait clairement une belle opportunité, il faut donc très vite s’en remettre, retourner au combat et penser au match de mardi, à Dijon. Oui, on a raté des occasions, on a tapé le poteau, mais c’est incroyable de sortir de ce match avec une défaite. Ça va être dur à avaler. Même si on ne la ramène pas, on a vraiment envie de se rapprocher de la cinquième place. Je crois que c’est le match où on tire le plus, il y a 21 frappes, c’est dur… »