9 janvier 2023
200 matches pour Victor Lekhal !
Notre capitaine vient d’atteindre les 200 matches en pro sous les couleurs Ciel&Marine ! L’occasion de revenir avec lui sur son parcours…

Que de chemin parcouru depuis cet été 2005 où, débarquant fraîchement de l’US Fécamp, le jeune Victor Lekhal, alors âgé de onze ans, intégra les rangs Ciel&Marine… Désormais capitaine, le voilà, un peu plus de dix-sept ans après, qui vient de disputer son 200e match chez les pros, toutes compétitions confondues ! Une carrière entamée le 7 février 2014, avec une entrée en jeu au Stade Océane face à Nîmes. « C’était fou de pouvoir jouer en professionnel, en plus c’était au Stade Océane, devant ma famille, mes amis, se souvient Victor. J’avais joué 25 minutes, je me sentais très bien. »
Une sensation confirmée quelques jours après lors d’une superbe titularisation à Bollaert pour un Lens – HAC où il ne manqua que quelques secondes aux Havrais pour s’imposer (1-1). Mais cette carrière prenant son essor dut être mise entre parenthèses au bout de quelques secondes la semaine suivante, face à Châteauroux, à cause d’une rupture des ligaments croisés du genou droit. Comme avant en 2011, comme plus tard en 2019. Ce qui n’empêcha pas le HAC de proposer à son jeune milieu de terrain un premier contrat pro en mars 2014. Victor n’a évidemment pas oublié ces moments… « C’était dur à vivre, je commençais à jouer… A la mi-temps du match contre Châteauroux, le coach, Erick Mombaerts était venu me voir, me rassurer, en me disant que j’allais signer pro. Alors, je suis reparti au boulot, avec mon entourage qui me soutenait, je savais ce que je voulais ! C’était dur mais cela m’a forgé aussi… et m’a amélioré ! » Amélioré ? « Oui, Erick Mombaerts était venu me voir à l’hôpital et la première chose qu’il m’avait dite était que j’avais fait un mauvais contrôle et que j’avais voulu me rattraper tout de suite ! C’est rentré dans ma tête et depuis j’essaie d’être le plus juste possible techniquement. »
Au fil des saisons, après un prêt de six mois à Avranches en National lui permettant de retrouver du rythme (2016), Victor s’installa dans l’équipe pour ne plus en sortir, si ce n’est encore en mars 2019, suite à une nouvelle rupture des croisés, cette fois avec la sélection algérienne. Mais là encore, il revint, toujours plus fort. Un guerrier ! Une régularité lui valant désormais le brassard de capitaine, le titre honorifique (et glorieux !) de plus ancien Hacman de l’effectif, et donc d’atteindre le 30 décembre 2022, face au Paris FC, les 200 matches en pro sous les couleurs Ciel&Marine. Le moins que l’on souhaite à Victor, et à nous, est d’en connaître encore beaucoup d’autres !
Une sensation confirmée quelques jours après lors d’une superbe titularisation à Bollaert pour un Lens – HAC où il ne manqua que quelques secondes aux Havrais pour s’imposer (1-1). Mais cette carrière prenant son essor dut être mise entre parenthèses au bout de quelques secondes la semaine suivante, face à Châteauroux, à cause d’une rupture des ligaments croisés du genou droit. Comme avant en 2011, comme plus tard en 2019. Ce qui n’empêcha pas le HAC de proposer à son jeune milieu de terrain un premier contrat pro en mars 2014. Victor n’a évidemment pas oublié ces moments… « C’était dur à vivre, je commençais à jouer… A la mi-temps du match contre Châteauroux, le coach, Erick Mombaerts était venu me voir, me rassurer, en me disant que j’allais signer pro. Alors, je suis reparti au boulot, avec mon entourage qui me soutenait, je savais ce que je voulais ! C’était dur mais cela m’a forgé aussi… et m’a amélioré ! » Amélioré ? « Oui, Erick Mombaerts était venu me voir à l’hôpital et la première chose qu’il m’avait dite était que j’avais fait un mauvais contrôle et que j’avais voulu me rattraper tout de suite ! C’est rentré dans ma tête et depuis j’essaie d’être le plus juste possible techniquement. »
Au fil des saisons, après un prêt de six mois à Avranches en National lui permettant de retrouver du rythme (2016), Victor s’installa dans l’équipe pour ne plus en sortir, si ce n’est encore en mars 2019, suite à une nouvelle rupture des croisés, cette fois avec la sélection algérienne. Mais là encore, il revint, toujours plus fort. Un guerrier ! Une régularité lui valant désormais le brassard de capitaine, le titre honorifique (et glorieux !) de plus ancien Hacman de l’effectif, et donc d’atteindre le 30 décembre 2022, face au Paris FC, les 200 matches en pro sous les couleurs Ciel&Marine. Le moins que l’on souhaite à Victor, et à nous, est d’en connaître encore beaucoup d’autres !
Les souvenirs de Victor Lekhal !

Un match marquant ?
Ma première titularisation, à Lens (NDLR : 17 février 2014). Jouer à Bollaert, devant 34000 spectateurs, dans une telle ambiance, ça ne s’oublie pas (photo ci-contre).
Une saison particulière ?
Celle où on fait les barrages, en 2017-2018. Particulière pour plusieurs raisons, sportives ou extra sportives. Elle se termine mal. Et il y avait eu la perte de Samba, ce fut très dur émotionnellement.
Les joueurs avec lesquels tu as joué t’ayant le plus impressionné ?
Rafik Guitane, Zinedine Ferhat, Jean-Philippe Mateta… Lui, même si ce fut compliqué au début, il savait ce qu’il voulait. Et Amir Richardson, je pense qu’il ira loin. Par ailleurs, amicalement, j’ai tissé des liens avec Zinedine Ferhat, Romain Basque, Quentin Cornette, et aussi la petite bande qui s’est créée cette année avec Gautier Lloris, Arthur Desmas, Nabil Alioui… Et encore Amir Richardson, qui est aussi pote avec mon petit frère.
Quels entraîneurs t’ont le plus marqué ?
Il y a eu évidemment le premier, Erick Mombaerts, mais aussi Oswald Tanchot, avec qui j’avais une relation particulière. Il m’a beaucoup conseillé, et il est le premier à m’avoir confié le brassard quand Alex (Bonnet) n’était pas là. Et puis Luka Elsner, qui m’a fait un peu renaître.
Propos recueillis par O.D
Ma première titularisation, à Lens (NDLR : 17 février 2014). Jouer à Bollaert, devant 34000 spectateurs, dans une telle ambiance, ça ne s’oublie pas (photo ci-contre).
Une saison particulière ?
Celle où on fait les barrages, en 2017-2018. Particulière pour plusieurs raisons, sportives ou extra sportives. Elle se termine mal. Et il y avait eu la perte de Samba, ce fut très dur émotionnellement.
Les joueurs avec lesquels tu as joué t’ayant le plus impressionné ?
Rafik Guitane, Zinedine Ferhat, Jean-Philippe Mateta… Lui, même si ce fut compliqué au début, il savait ce qu’il voulait. Et Amir Richardson, je pense qu’il ira loin. Par ailleurs, amicalement, j’ai tissé des liens avec Zinedine Ferhat, Romain Basque, Quentin Cornette, et aussi la petite bande qui s’est créée cette année avec Gautier Lloris, Arthur Desmas, Nabil Alioui… Et encore Amir Richardson, qui est aussi pote avec mon petit frère.
Quels entraîneurs t’ont le plus marqué ?
Il y a eu évidemment le premier, Erick Mombaerts, mais aussi Oswald Tanchot, avec qui j’avais une relation particulière. Il m’a beaucoup conseillé, et il est le premier à m’avoir confié le brassard quand Alex (Bonnet) n’était pas là. Et puis Luka Elsner, qui m’a fait un peu renaître.
Propos recueillis par O.D
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC