19 août 2022
Aloïs Confais: "Club historique, le HAC parle à tout joueur de foot !""
Pour Aloïs Confais, Normand d’origine et passé par Evreux, venir jouer pour le HAC est une vraie fierté. Ce ne sont pourtant pas des raisons sentimentales qui l’ont poussé à revenir dans sa région, mais bien le projet sportif du club. Interview…

Aloïs, tu avais pris ces dernières années la direction de Chypre, alors pourquoi avoir choisi de donner une nouvelle orientation à ta carrière avec ce retour en Normandie, en t’engageant avec le HAC ?
C’était important pour moi de retrouver le championnat français et le choix du HAC me permet par la même occasion de me rapprocher de ma famille. Ce projet avec ce club est l’occasion de repartir sur autre chose.
Le HAC est un club que tu connais bien pour l’avoir affronté à de nombreuses reprises avec les équipes de jeunes lorsque tu évoluais à Evreux !
Oui, c’est vrai que j’ai souvent joué face à ce club lorsque j’étais à Évreux, j’ai souvent joué à la Cavée-Verte et au Stade Océane en pro avec Troyes, donc le HAC est un club que je connaissais déjà pas mal avant de m’engager. C’est aussi un club historique, le HAC parle à tout joueur de foot.
Le HAC a aussi été le club contre lequel tu as marqué ton premier but en pro !
C’est vrai, je n’ai pas marqué énormément, mais oui, j’ai marqué mon premier but en pro avec Troyes face au HAC, c’était au Stade Océane. Maintenant, j’ai bien l’intention d’en marquer d’autres au Stade Océane, mais dans l’autre sens cette fois !
Revenons sur ton parcours : tu es normand et pourtant à 14 ans tu as choisi de partir faire ta formation à Troyes. Rejoindre un club de la région, Caen ou le HAC, n’avait pas été dans tes intentions ?
Lorsque j’étais avec les U15 à Evreux, j’étais pisté par plusieurs clubs français, mais le HAC n’en faisait pas partie. J’ai eu plusieurs propositions, la partie football a bien sûr été évoquée, mais pas seulement, le scolaire et les à-côtés ont été pris en compte et c’est finalement Troyes qui a retenu mon attention et celle de mes parents.
Tu vis une belle aventure avec Troyes puisque à l’issue de la saison 2016/2017, il y a une montée en Ligue 1 !
Oui, c’est quelque chose d’assez exceptionnel dans une carrière de footballeur de vivre des émotions communes avec le groupe, les supporters, la ville, il n’y a rien de mieux dans le sport collectif que ces moments ! Cette saison-là, c’est l’esprit de groupe qui a fait la différence. Ce serait beau d’aller chercher des moments comme ceux-là avec le HAC !
Après une saison très particulière stoppée à cause du Covid, tu quittes Le Mans, où tu as passé deux saisons, finalement rétrogradé en National, pour te lancer dans une aventure à Chypre. Pourquoi ce choix ?
On était dans une période très particulière, très floue pour tout le monde. J’ai eu très tôt cette opportunité d’aller jouer à Chypre, et comme je suis quelqu’un qui n’aime pas l’incertitude, rester des jours et des jours sans savoir de quoi demain sera fait, j’ai très peu hésité avant d’accepter cette proposition en suivant mon coéquipier du Mans Vincent Créhin qui venait aussi de s’engager avec le club de Nea Salamina. Et ce choix d’aller à Chypre, je ne le regrette absolument pas, j’ai découvert une nouvelle culture, j’ai appris beaucoup de choses, cela m’a ouvert l’esprit, pas que sur un terrain, sur la vie en générale, et j’ai été agréablement surpris par le niveau du championnat.
On sait que tu arrives avec une petite blessure à la cheville qui va te rendre indisponible encore une dizaine de jours, mais où en es-tu de ta préparation ?
J’ai fait toute ma préparation normalement avec l’Olympiakos Nicosie, nous avons repris le 2 juillet. Là, j’ai une petite blessure à la cheville que je suis en train de soigner avec les kinés, je pense que je reprendrai avec le groupe dès mercredi. J’ai hâte de débuter, car à la vue des installations dont nous disposons, je suis sûr qu’il y a énormément de choses à faire avec ce club !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
C’était important pour moi de retrouver le championnat français et le choix du HAC me permet par la même occasion de me rapprocher de ma famille. Ce projet avec ce club est l’occasion de repartir sur autre chose.
Le HAC est un club que tu connais bien pour l’avoir affronté à de nombreuses reprises avec les équipes de jeunes lorsque tu évoluais à Evreux !
Oui, c’est vrai que j’ai souvent joué face à ce club lorsque j’étais à Évreux, j’ai souvent joué à la Cavée-Verte et au Stade Océane en pro avec Troyes, donc le HAC est un club que je connaissais déjà pas mal avant de m’engager. C’est aussi un club historique, le HAC parle à tout joueur de foot.
Le HAC a aussi été le club contre lequel tu as marqué ton premier but en pro !
C’est vrai, je n’ai pas marqué énormément, mais oui, j’ai marqué mon premier but en pro avec Troyes face au HAC, c’était au Stade Océane. Maintenant, j’ai bien l’intention d’en marquer d’autres au Stade Océane, mais dans l’autre sens cette fois !
Revenons sur ton parcours : tu es normand et pourtant à 14 ans tu as choisi de partir faire ta formation à Troyes. Rejoindre un club de la région, Caen ou le HAC, n’avait pas été dans tes intentions ?
Lorsque j’étais avec les U15 à Evreux, j’étais pisté par plusieurs clubs français, mais le HAC n’en faisait pas partie. J’ai eu plusieurs propositions, la partie football a bien sûr été évoquée, mais pas seulement, le scolaire et les à-côtés ont été pris en compte et c’est finalement Troyes qui a retenu mon attention et celle de mes parents.
Tu vis une belle aventure avec Troyes puisque à l’issue de la saison 2016/2017, il y a une montée en Ligue 1 !
Oui, c’est quelque chose d’assez exceptionnel dans une carrière de footballeur de vivre des émotions communes avec le groupe, les supporters, la ville, il n’y a rien de mieux dans le sport collectif que ces moments ! Cette saison-là, c’est l’esprit de groupe qui a fait la différence. Ce serait beau d’aller chercher des moments comme ceux-là avec le HAC !
Après une saison très particulière stoppée à cause du Covid, tu quittes Le Mans, où tu as passé deux saisons, finalement rétrogradé en National, pour te lancer dans une aventure à Chypre. Pourquoi ce choix ?
On était dans une période très particulière, très floue pour tout le monde. J’ai eu très tôt cette opportunité d’aller jouer à Chypre, et comme je suis quelqu’un qui n’aime pas l’incertitude, rester des jours et des jours sans savoir de quoi demain sera fait, j’ai très peu hésité avant d’accepter cette proposition en suivant mon coéquipier du Mans Vincent Créhin qui venait aussi de s’engager avec le club de Nea Salamina. Et ce choix d’aller à Chypre, je ne le regrette absolument pas, j’ai découvert une nouvelle culture, j’ai appris beaucoup de choses, cela m’a ouvert l’esprit, pas que sur un terrain, sur la vie en générale, et j’ai été agréablement surpris par le niveau du championnat.
On sait que tu arrives avec une petite blessure à la cheville qui va te rendre indisponible encore une dizaine de jours, mais où en es-tu de ta préparation ?
J’ai fait toute ma préparation normalement avec l’Olympiakos Nicosie, nous avons repris le 2 juillet. Là, j’ai une petite blessure à la cheville que je suis en train de soigner avec les kinés, je pense que je reprendrai avec le groupe dès mercredi. J’ai hâte de débuter, car à la vue des installations dont nous disposons, je suis sûr qu’il y a énormément de choses à faire avec ce club !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
32ème journée
04/05/2025 Auxerre - HAC
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC