7 juillet 2022
Arthur Desmas : « Cette ville respire le foot ! »
Gardien de but, Arthur Desmas vient d’arriver en provenance de Clermont, où il évoluait en L1.

Arthur, te voilà donc en Ciel&Marine ! Raconte-nous ton parcours jusque-là !
J’ai commencé petit à Ploumoguer, dans le Finistère, comme joueur de champ. Puis le Stade Brestois m’a recruté en tant que gardien de but, parce que les entraîneurs ont vu que j’étais plus grand que les autres ! J’y ai passé neuf ans, avant de partir pour les Chamois Niortais où j’ai signé mon premier contrat professionnel. Ayant envie de trouver du temps de jeu, je suis allé à Rodez, où nous sommes montés de National en Ligue 2, et, un an plus tard, j’ai choisi Clermont, où nous sommes montés en Ligue 1 ! Nous n’avions pas pris beaucoup de buts (NDLR : 25 buts encaissés, 20 clean-sheets), nous avions une super entente dans l’équipe, défensivement ou offensivement, tout le monde savait ce qu’il avait à faire sur le terrain.
Tu as donc pas mal d’expérience dans différents championnats…
Je connais bien la Ligue 2, un championnat où tout le monde peut battre tout le monde. Plus la Ligue 2 avance, plus elle est compliquée, plus le niveau s’élève. L’an passé, c’était une fierté de découvrir la Ligue 1, je ne pensais pas y évoluer un jour. Evidemment, j’aurais préféré que cela se passe mieux (NDLR : Arthur a disputé 15 rencontres de Ligue 1). Mais je sors grandi de cette expérience. Jouer à Marseille, à Paris, rencontrer des équipes qui jouent la Ligue des Champions, on touche le Graal !
Pourquoi as-tu choisi le HAC pour poursuivre ta carrière ?
J’ai eu Mathieu Bodmer assez tôt au téléphone. Je trouvais le projet ambitieux, intéressant, avec le fait de retrouver du temps de jeu, du plaisir. Et avec Nico Douchez entraîneur des gardiens, ça peut être sympa ! Cette ville respire le foot. C’est un club historique, c’est donc une vraie fierté d’en faire partie.
Quels sont tes qualités et tes défauts ?
Je suis grand, donc je prends de la place dans le but ! J’essaie d’aller aider mes partenaires le plus possible dans le jeu aérien, je pense avoir aussi une bonne communication avec mes défenseurs sur le terrain. Par ailleurs, je sais que je dois travailler un peu plus mon pied gauche.
Quel est ton regard sur le Stade Océane ?
J’étais déjà venu avec Clermont, en période Covid, un match décalé en décembre 2020 (NDLR : score final 0 à 0). J’ai hâte de voir ce stade avec du monde, voir comment les supporters nous poussent. J’espère qu’ils seront derrière nous : une saison est faite de hauts et de bas, on aura besoin de leur soutien toute l’année !
Propos recueillis par Olivia Detivelle
J’ai commencé petit à Ploumoguer, dans le Finistère, comme joueur de champ. Puis le Stade Brestois m’a recruté en tant que gardien de but, parce que les entraîneurs ont vu que j’étais plus grand que les autres ! J’y ai passé neuf ans, avant de partir pour les Chamois Niortais où j’ai signé mon premier contrat professionnel. Ayant envie de trouver du temps de jeu, je suis allé à Rodez, où nous sommes montés de National en Ligue 2, et, un an plus tard, j’ai choisi Clermont, où nous sommes montés en Ligue 1 ! Nous n’avions pas pris beaucoup de buts (NDLR : 25 buts encaissés, 20 clean-sheets), nous avions une super entente dans l’équipe, défensivement ou offensivement, tout le monde savait ce qu’il avait à faire sur le terrain.
Tu as donc pas mal d’expérience dans différents championnats…
Je connais bien la Ligue 2, un championnat où tout le monde peut battre tout le monde. Plus la Ligue 2 avance, plus elle est compliquée, plus le niveau s’élève. L’an passé, c’était une fierté de découvrir la Ligue 1, je ne pensais pas y évoluer un jour. Evidemment, j’aurais préféré que cela se passe mieux (NDLR : Arthur a disputé 15 rencontres de Ligue 1). Mais je sors grandi de cette expérience. Jouer à Marseille, à Paris, rencontrer des équipes qui jouent la Ligue des Champions, on touche le Graal !
Pourquoi as-tu choisi le HAC pour poursuivre ta carrière ?
J’ai eu Mathieu Bodmer assez tôt au téléphone. Je trouvais le projet ambitieux, intéressant, avec le fait de retrouver du temps de jeu, du plaisir. Et avec Nico Douchez entraîneur des gardiens, ça peut être sympa ! Cette ville respire le foot. C’est un club historique, c’est donc une vraie fierté d’en faire partie.
Quels sont tes qualités et tes défauts ?
Je suis grand, donc je prends de la place dans le but ! J’essaie d’aller aider mes partenaires le plus possible dans le jeu aérien, je pense avoir aussi une bonne communication avec mes défenseurs sur le terrain. Par ailleurs, je sais que je dois travailler un peu plus mon pied gauche.
Quel est ton regard sur le Stade Océane ?
J’étais déjà venu avec Clermont, en période Covid, un match décalé en décembre 2020 (NDLR : score final 0 à 0). J’ai hâte de voir ce stade avec du monde, voir comment les supporters nous poussent. J’espère qu’ils seront derrière nous : une saison est faite de hauts et de bas, on aura besoin de leur soutien toute l’année !
Propos recueillis par Olivia Detivelle
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC