8 mars 2021
Ashley Clark : "Totalement havraise !"
Arrivée au Havre il y a maintenant 4 ans, Ashley Clark vit une saison sportive difficile avec les féminines. Pour autant la native de Jacksonville en Caroline du Nord s'est totalement intégrée à la vie havraise. Interview…

Tu es née à Jacksonville en Caroline du Nord, tu as grandi à Cary, parle-nous de ces années !
J’ai commencé le foot à 4 ans, je voyais des gens à côté de chez moi qui jouaient et cela m’a donné envie. Tous les jours, je demandais à jouer ! J’ai évolué dans trois clubs différents avant de rejoindre l’Université de Campbell durant 4 ans et demi, au plus haut niveau universitaire américain. J’adore cette université, les personnes que j’y ai rencontrées, les équipes dans lesquelles j’ai joué et les coaches que j’ai eus.
Si tu ne t’étais pas lancée dans le foot, quel métier aurais-tu aimé ?
Quoi qu’il arrive, travailler dans le domaine du sport. Ma priorité a toujours été de devenir joueuse professionnelle et d’enchaîner après vers une carrière de manager sportif.
Tu arrives au HAC en 2017, qu’est-ce qui te pousse à rejoindre Le Havre, à changer de vie ?
Mon amie McKenzie Hollenbaugh et moi avons été contactées par le HAC. Le projet du Président Vincent Volpe nous a beaucoup plu. Avec McKenzie, avant de rejoindre Boston, nous avions fait 6 mois en Suède et l’idée de retourner en Europe nous attirait, alors nous avons décidé de tenter l’aventure.
Cela veut-il dire que le challenge sportif est intéressant ?
Bien sûr, on ne continue pas si le projet n’est pas séduisant ! Je rêvais de monter en D1 Arkema avec le HAC, j’ai connu toute l’aventure depuis la Régionale 1. Quand on vit cela, on en veut encore !
Découvrir la France, était-ce une envie particulière pour toi et a-t-il été facile de s’acclimater ?
Pas spécialement la France, mais l’Europe en général. J’aime voyager ! L’acclimatation a été un peu difficile à cause de la barrière de la langue, et la mentalité n’est pas la même. La vie quotidienne des Français et des Havrais est différente de ce que je connaissais aux USA.
Lorsque tu as finalement posé tes valises au Havre, imaginais-tu y passer au moins quatre ans ?
Non, pas vraiment, mais la première année s’est réellement très bien passée, cela donnait envie de continuer ! La suite s’est bien déroulée aussi. Maintenant, je me sens totalement havraise !
Qu’est ce qui te plaît ici ?
Les boulangeries (rire), mais aussi la plage - j’y vais presque tous les jours -, et Sainte-Adresse. Et le positionnement du Havre, idéal lorsqu’on veut voyager, vers Paris, Londres et d’autres grandes capitales. Sans oublier ce coin de Normandie que j’aime beaucoup : Étretat !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
J’ai commencé le foot à 4 ans, je voyais des gens à côté de chez moi qui jouaient et cela m’a donné envie. Tous les jours, je demandais à jouer ! J’ai évolué dans trois clubs différents avant de rejoindre l’Université de Campbell durant 4 ans et demi, au plus haut niveau universitaire américain. J’adore cette université, les personnes que j’y ai rencontrées, les équipes dans lesquelles j’ai joué et les coaches que j’ai eus.
Si tu ne t’étais pas lancée dans le foot, quel métier aurais-tu aimé ?
Quoi qu’il arrive, travailler dans le domaine du sport. Ma priorité a toujours été de devenir joueuse professionnelle et d’enchaîner après vers une carrière de manager sportif.
Tu arrives au HAC en 2017, qu’est-ce qui te pousse à rejoindre Le Havre, à changer de vie ?
Mon amie McKenzie Hollenbaugh et moi avons été contactées par le HAC. Le projet du Président Vincent Volpe nous a beaucoup plu. Avec McKenzie, avant de rejoindre Boston, nous avions fait 6 mois en Suède et l’idée de retourner en Europe nous attirait, alors nous avons décidé de tenter l’aventure.
Cela veut-il dire que le challenge sportif est intéressant ?
Bien sûr, on ne continue pas si le projet n’est pas séduisant ! Je rêvais de monter en D1 Arkema avec le HAC, j’ai connu toute l’aventure depuis la Régionale 1. Quand on vit cela, on en veut encore !
Découvrir la France, était-ce une envie particulière pour toi et a-t-il été facile de s’acclimater ?
Pas spécialement la France, mais l’Europe en général. J’aime voyager ! L’acclimatation a été un peu difficile à cause de la barrière de la langue, et la mentalité n’est pas la même. La vie quotidienne des Français et des Havrais est différente de ce que je connaissais aux USA.
Lorsque tu as finalement posé tes valises au Havre, imaginais-tu y passer au moins quatre ans ?
Non, pas vraiment, mais la première année s’est réellement très bien passée, cela donnait envie de continuer ! La suite s’est bien déroulée aussi. Maintenant, je me sens totalement havraise !
Qu’est ce qui te plaît ici ?
Les boulangeries (rire), mais aussi la plage - j’y vais presque tous les jours -, et Sainte-Adresse. Et le positionnement du Havre, idéal lorsqu’on veut voyager, vers Paris, Londres et d’autres grandes capitales. Sans oublier ce coin de Normandie que j’aime beaucoup : Étretat !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
32ème journée
04/05/2025 Auxerre - HAC
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC