8 novembre 2013
Avant HAC - Angers: Jouer le leader, et alors !

Les belles paroles ne servent pas à grand-chose, c’est sur le terrain que le match se joue, se gagne ou pas. Voilà en quelque sorte un résumé de ce qui est ressorti de la conférence de presse d’avant match. Les propose d’Erick Mombaerts et de Yohann Rivière en disent long sur la nécessité de mettre l’accent sur les actes plutôt que sur des déclarations qui depuis un certain temps ne sont pas suivies des résultats escomptés.
On sent que les joueurs comme l’entraîneur ne veulent qu’une chose : inverser la spirale de mauvais résultats : « faut-il fermer le jeu comme Brest l’a fait face à nous, » se demande un Erick Mombaerts pourtant adepte du beau jeu, mais conscient qu’en France le jeu fermé est largement dominant. Il est évident que le coach cherche des solutions tactiques pour permettre à son équipe de porter davantage le danger devant le but adverse, mais force est de constater que ce sont les joueurs et eux-seuls qui détiennent les réponses sur le terrain.
Face à Angers, Leader de la Ligue 2 et qui ne l’est pas par hasard, il ne va pas falloir que les joueurs ratent des gestes importants dans les zones de vérité car en face, il y a aura la qualité nécessaire pour savoir en profiter. Ne rien lâcher sur les 90 minutes, ne pas rater les occasions franches, ne pas se trouer sur un mauvais placement ou une mauvaise relance, voilà les bases qui permettraient aux Ciel et Marine d’obtenir une victoire probante comme ce fut le cas face à Lens il y a quelques semaines.
Depuis ce match référence, la confiance s’est liquéfiée petit à petit à cause d’abord d’un manque de réussite, d’une infirmerie qui n’a pas désemplie et depuis deux matches d’insuffisances techniques évidentes qui ne pardonnent pas au niveau professionnel. Ce soir les Ciel et Marine jouent gros au niveau du classement, mais pas uniquement. Toutes les composantes du club sont suspendues au résultat de l’équipe professionnel. Chacun sait que ce groupe est capable de tellement bien faire, qu’un nouveau revers à domicile, même face au leader, n’est même pas envisageable. Que chacun en soit convaincu…
Pascal Leclerc
On sent que les joueurs comme l’entraîneur ne veulent qu’une chose : inverser la spirale de mauvais résultats : « faut-il fermer le jeu comme Brest l’a fait face à nous, » se demande un Erick Mombaerts pourtant adepte du beau jeu, mais conscient qu’en France le jeu fermé est largement dominant. Il est évident que le coach cherche des solutions tactiques pour permettre à son équipe de porter davantage le danger devant le but adverse, mais force est de constater que ce sont les joueurs et eux-seuls qui détiennent les réponses sur le terrain.
Face à Angers, Leader de la Ligue 2 et qui ne l’est pas par hasard, il ne va pas falloir que les joueurs ratent des gestes importants dans les zones de vérité car en face, il y a aura la qualité nécessaire pour savoir en profiter. Ne rien lâcher sur les 90 minutes, ne pas rater les occasions franches, ne pas se trouer sur un mauvais placement ou une mauvaise relance, voilà les bases qui permettraient aux Ciel et Marine d’obtenir une victoire probante comme ce fut le cas face à Lens il y a quelques semaines.
Depuis ce match référence, la confiance s’est liquéfiée petit à petit à cause d’abord d’un manque de réussite, d’une infirmerie qui n’a pas désemplie et depuis deux matches d’insuffisances techniques évidentes qui ne pardonnent pas au niveau professionnel. Ce soir les Ciel et Marine jouent gros au niveau du classement, mais pas uniquement. Toutes les composantes du club sont suspendues au résultat de l’équipe professionnel. Chacun sait que ce groupe est capable de tellement bien faire, qu’un nouveau revers à domicile, même face au leader, n’est même pas envisageable. Que chacun en soit convaincu…
Pascal Leclerc
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