25 février 2022
Avant HAC - Nancy : Trois points, c’est tout
Ce samedi, le HAC reçoit la lanterne rouge, Nancy. La victoire, qui nous fuit depuis début 2022, devient impérative.

Il paraît que c’est au pied du mur qu’on voit le maçon. Lundi dernier, c’est en tout cas là qu’on a mieux vu… le mur toulousain ! Au pays des violettes, c’est malheureusement le HAC qui s’est fait cueillir. L’horticulture semblant être le thème de la semaine, nous voilà opposés ce samedi aux chardons nancéiens.
Des chardons qui ont bien du mal à s’épanouir cette saison. Dernière, l’ASNL (20 points, à cinq longueurs du barragiste, Grenoble) traîne sa misère. Pire défense (46 buts encaissés), troisième plus mauvaise attaque (21 réalisations), les Lorrains vivent une saison cauchemardesque. Du moins vivaient jusqu’à ces toutes dernières semaines. Car ils connaissent depuis trois matches ce moment de métamorphose que chantait Ferrat, l’embellie, ayant décroché deux nuls (face à Caen et sur la pelouse d’Auxerre) puis une victoire devant Dunkerque. Emmenés par Mamadou Thiam (5 buts), Mickaël Biron (5 buts, 3 passes décisives) et Andrew Jung (3 buts), les joueurs de Lorraine, jusque-là bancals, veulent s’éloigner du port de l’angoisse (si si, il y a un port fluvial à Nancy !). Dirigés depuis début janvier par Albert Cartier, lequel a succédé à Benoît Pedretti, qui avait lui-même remplacé Daniel Stendel, les Nancéiens n’ont plus guère le choix.
Pas plus que les Hacmen, d’ailleurs. Désormais huitièmes (sixièmes ex aequo avec Niort et Nîmes, 35 points, à sept longueurs d’Auxerre), ils savent qu’il n’y a plus de temps à perdre avec un début d’année 2022 décevant. Alors, on attend ce samedi que tout le monde se remette la tête à l’endroit, que toutes les forces vives, sur le terrain et en tribunes, soient présentes. En ces temps obscurs où le futur de l’humanité a la gueule d’un passé malodorant, nous avons bien besoin, nous aussi, d’un peu d’embellie, cet « instant de rêve et de pause dans le tumulte de la vie. » Avec des riens qui nous délivrent (une frappe dans la lucarne, par exemple !), un peu de douceur, celle de la caresse sur le ballon. Et un peu d’espoir, celui de la victoire.
O.D.
Des chardons qui ont bien du mal à s’épanouir cette saison. Dernière, l’ASNL (20 points, à cinq longueurs du barragiste, Grenoble) traîne sa misère. Pire défense (46 buts encaissés), troisième plus mauvaise attaque (21 réalisations), les Lorrains vivent une saison cauchemardesque. Du moins vivaient jusqu’à ces toutes dernières semaines. Car ils connaissent depuis trois matches ce moment de métamorphose que chantait Ferrat, l’embellie, ayant décroché deux nuls (face à Caen et sur la pelouse d’Auxerre) puis une victoire devant Dunkerque. Emmenés par Mamadou Thiam (5 buts), Mickaël Biron (5 buts, 3 passes décisives) et Andrew Jung (3 buts), les joueurs de Lorraine, jusque-là bancals, veulent s’éloigner du port de l’angoisse (si si, il y a un port fluvial à Nancy !). Dirigés depuis début janvier par Albert Cartier, lequel a succédé à Benoît Pedretti, qui avait lui-même remplacé Daniel Stendel, les Nancéiens n’ont plus guère le choix.
Pas plus que les Hacmen, d’ailleurs. Désormais huitièmes (sixièmes ex aequo avec Niort et Nîmes, 35 points, à sept longueurs d’Auxerre), ils savent qu’il n’y a plus de temps à perdre avec un début d’année 2022 décevant. Alors, on attend ce samedi que tout le monde se remette la tête à l’endroit, que toutes les forces vives, sur le terrain et en tribunes, soient présentes. En ces temps obscurs où le futur de l’humanité a la gueule d’un passé malodorant, nous avons bien besoin, nous aussi, d’un peu d’embellie, cet « instant de rêve et de pause dans le tumulte de la vie. » Avec des riens qui nous délivrent (une frappe dans la lucarne, par exemple !), un peu de douceur, celle de la caresse sur le ballon. Et un peu d’espoir, celui de la victoire.
O.D.
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