20 octobre 2022
Ghislain Chauray : "Nous sommes constamment dans l’échange"
Ayant intégré depuis deux ans le staff de la Cavée-Verte, Ghislain Chauray, 50 ans, n’est pas un inconnu chez les Ciel&Marine puisqu’il y garda les buts en 1993-94 !

Ghislain, quelles sont tes fonctions au Centre de formation ?
Ma mission principale est d’entraîner, former les jeunes gardiens du Centre, en collaboration avec Michel Courel qui s’occupe de l’école de foot, de la préformation et des féminines. Je suis plus sur la formation, avec les U16, U17, U19 et l’équipe réserve. J’ai aussi un rôle d’adjoint au niveau de l’équipe réserve, l’année dernière avec Michaël Lebaillif et cette année Jaïr Karam, pour donner aussi mon point de vue, mon ressenti sur les séances d’entraînement, sur les matches, c’est un échange permanent. J’ai également ce rôle, dans une moindre mesure en U19 et U17 où je peux aussi être sur le banc pour la préparation de match, et pour donner un œil avisé sur les matches quand on me le demande. Je suis au service de la formation et des équipes mais avec un petit plus pour la réserve.
Quel a été ton parcours avant d’intégrer le HAC ?
En tant que joueur, donc gardien de but, j’ai commencé à Versailles, intégré l’INF Clairefontaine, le centre de formation de Nantes, encore Versailles, puis j’ai signé au HAC en tant que stagiaire en 93-94, avec Abdel Djaadaoui comme coach. J’ai ensuite tenté l’aventure en National avec Noisy-le-Sec, Fécamp, Angoulême, et, après un passage au Vitoria Guimaraes, à Brest, où nous sommes montés en Ligue 2. Ensuite, je suis parti à La Roche-sur-Yon, où j’ai commencé à passer mes diplômes d’entraîneur, puis au Poiré-sur-Vie où j’ai basculé entraîneur des gardiens sous la direction d’Oswald Tanchot. Après, il y eut Cholet, Poitiers, et me voici au HAC ! Je ne me suis pas posé longtemps dans les clubs, mais aujourd’hui j’aspire à plus de stabilité !
Avais-tu depuis longtemps cette idée de devenir entraîneur ?
Un poste comme j’ai aujourd’hui, j’y ai souvent pensé. Transmettre mon expérience aux jeunes gardiens du centre, c’est quelque chose qui me traversait l’esprit depuis longtemps. Après, comme beaucoup, j’ai suivi le cursus, pour rester dans le foot. Au fur et à mesure, j’y ai pris goût, découvert des choses.
Qu’as-tu gardé de 1993-94 et de ton premier passage au HAC ?
Ça fait toujours drôle de recroiser des gens avec qui j’étais à l’époque ! J’ai gardé des contacts avec pas mal de joueurs comme Nicolas Levasseur, Bertrand Delas, Olivier Debert, Sébastien Robert… Partout où je suis passé, ce qui m’a marqué le plus, c’est l’aventure humaine, ce que j’ai partagé avec les joueurs, les coaches… Ça n’a pas changé, la Cavée, ça a juste évolué dans le sens où il y a beaucoup plus de monde qui y travaille maintenant ! Avant, c’était Abdel qui faisait tout, c’était une autre époque ! Aujourd’hui, il y a des équipes renforcées, des staffs renforcés, des préparateurs athlétiques, des adjoints, des analystes vidéo, mais ça rend les choses encore plus riches ! Nous sommes constamment dans l’échange, c’est bien, c’est passionnant.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
Ma mission principale est d’entraîner, former les jeunes gardiens du Centre, en collaboration avec Michel Courel qui s’occupe de l’école de foot, de la préformation et des féminines. Je suis plus sur la formation, avec les U16, U17, U19 et l’équipe réserve. J’ai aussi un rôle d’adjoint au niveau de l’équipe réserve, l’année dernière avec Michaël Lebaillif et cette année Jaïr Karam, pour donner aussi mon point de vue, mon ressenti sur les séances d’entraînement, sur les matches, c’est un échange permanent. J’ai également ce rôle, dans une moindre mesure en U19 et U17 où je peux aussi être sur le banc pour la préparation de match, et pour donner un œil avisé sur les matches quand on me le demande. Je suis au service de la formation et des équipes mais avec un petit plus pour la réserve.
Quel a été ton parcours avant d’intégrer le HAC ?
En tant que joueur, donc gardien de but, j’ai commencé à Versailles, intégré l’INF Clairefontaine, le centre de formation de Nantes, encore Versailles, puis j’ai signé au HAC en tant que stagiaire en 93-94, avec Abdel Djaadaoui comme coach. J’ai ensuite tenté l’aventure en National avec Noisy-le-Sec, Fécamp, Angoulême, et, après un passage au Vitoria Guimaraes, à Brest, où nous sommes montés en Ligue 2. Ensuite, je suis parti à La Roche-sur-Yon, où j’ai commencé à passer mes diplômes d’entraîneur, puis au Poiré-sur-Vie où j’ai basculé entraîneur des gardiens sous la direction d’Oswald Tanchot. Après, il y eut Cholet, Poitiers, et me voici au HAC ! Je ne me suis pas posé longtemps dans les clubs, mais aujourd’hui j’aspire à plus de stabilité !
Avais-tu depuis longtemps cette idée de devenir entraîneur ?
Un poste comme j’ai aujourd’hui, j’y ai souvent pensé. Transmettre mon expérience aux jeunes gardiens du centre, c’est quelque chose qui me traversait l’esprit depuis longtemps. Après, comme beaucoup, j’ai suivi le cursus, pour rester dans le foot. Au fur et à mesure, j’y ai pris goût, découvert des choses.
Qu’as-tu gardé de 1993-94 et de ton premier passage au HAC ?
Ça fait toujours drôle de recroiser des gens avec qui j’étais à l’époque ! J’ai gardé des contacts avec pas mal de joueurs comme Nicolas Levasseur, Bertrand Delas, Olivier Debert, Sébastien Robert… Partout où je suis passé, ce qui m’a marqué le plus, c’est l’aventure humaine, ce que j’ai partagé avec les joueurs, les coaches… Ça n’a pas changé, la Cavée, ça a juste évolué dans le sens où il y a beaucoup plus de monde qui y travaille maintenant ! Avant, c’était Abdel qui faisait tout, c’était une autre époque ! Aujourd’hui, il y a des équipes renforcées, des staffs renforcés, des préparateurs athlétiques, des adjoints, des analystes vidéo, mais ça rend les choses encore plus riches ! Nous sommes constamment dans l’échange, c’est bien, c’est passionnant.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
32ème journée
04/05/2025 Auxerre - HAC
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC