HAC - Valenciennes : la revue de presse
Les réactions dans le presse locale et nationale après le match la deuxième victoire de la saison obtenue samedi soir par les Havrais face à Valenciennes lors de la 10ème journée de championnat…
« Ressuscités » (une de Havre Dimanche, Benoît Donckele)

Les hostilités n'avaient en effet pas débuté de la meilleure façon, avec un coup de poignard dès la première minute de jeu. « Pour entrer dans ce match gagner, les hommes de Nobilo ne pouvaient imaginer pire scénario ». Les choses n'étaient pas plus flamboyantes par la suite, et « le HAC dessinait sa plus sombre soirée à Deschaseaux depuis son retour en L1 jusqu'à ce que Lesage ne signe sans doute l'un de ses plus beaux buts de sa carrière ». Et l'attaquant havrais ne s'arrêtait pas là: « avec minutie, il humiliait le Colombien Sanchez d'un petit pont, avec précision, il plaçait le cuir entre le poteau et les gants de plomb de Penneteau ». Le HAC reprenait l'avantage, à quarante minute du gong final: « et quarante minutes, c'est long »! Les Normands en avaient fait l'expérience à Toulouse, Nancy ou Sochaux. « Il est désormais possible d'en parler en ayant le coeur moins serré », puisque les Havrais sont, cette fois, parvenus à maintenir l'écart! « En accrochant Valenciennes à un tableau de chasse sans relief depuis le 9 août dernier », les coéquipiers de Christophe Revault prennent une bonne bouffée d'oxygène avant de se rendre à Bordeaux mardi. (Benoît Donckele, Havre Dimanche)
Dans le peu de lignes accordées à ce match, Aujourd'hui en France se montre bref mais précis: « Lesage signe un doublé qui vaut de l'or pour le HAC ».
« Mais que de frayeurs », (Benoît Donckele, Havre Dimanche)
Les Havrais reviennent de loin: après une entame de match calamiteuse, ils étaient au bord du gouffre! « La tête secouée, les jambes coupées, l'inspiration brisée, rien ne tournait rond ». Seulement, ils ont cette fois trouvé la solution pour repartir vers l'avant. « Revault et les siens, toujours relégables, ne se sont toutefois pas rassurée comme ils l'espéraient »: la prestation d'ensemble restait brouillonne. Benoît Donckele (Havre Dimanche) titre donc « un bonheur si fragile ».