9 octobre 2024
Octobre Rose : le HAC s’engage avec la Ligue contre le cancer
Lors du match contre Lyon, le HAC proposera diverses animations afin de soutenir la lutte contre le cancer du sein. Parmi elles, des informations et une sensibilisation au dépistage en présence de la Ligue contre le cancer et de la directrice du comité de Seine-Maritime, Fabienne Benoît…

Fabienne Benoît, pouvez-vous vous présenter ?
Je suis directrice du comité de Seine-Maritime, engagée auprès de la Ligue contre le cancer depuis plus de trente ans. C’est un travail passionnant qui implique beaucoup de polyvalence, avec évidemment toute une partie gestion administration, mais aussi une partie correspondant aux missions de la Ligue. Outre le financement de la recherche scientifique, que je coordonne pour la Normandie, il y a une mission d’accompagnement des malades, avec des espaces dédiés. Nous avons aussi une commission sociale qui apporte des secours financiers, des aides intervenant au-delà des dispositifs de droit commun. Il y a également une offre de soins de support et de bien-être, totalement gratuite, avec du soutien psychologique, de la socio-esthétique, de la sophrologie, de l’art thérapie… Et aussi des activités physiques pendant et après les traitements grâce à un partenariat avec OncoNormandie. Ensuite, nous avons une mission de défense de la parole des patients, des malades, pour faire remonter les éventuelles difficultés de prise en charge dans le parcours de soins. Enfin, nous avons une mission d’information, de prévention et de dépistage, et c’est là qu’intervient la sensibilisation, notamment ce qui est lié à Octobre Rose.
Pouvez-vous nous en dire plus sur Octobre Rose ?
Le mois d’octobre tient une grande part dans notre mission de prévention, d’information, de sensibilisation au dépistage, puisque c’est le mois où nous sommes le plus sollicités pour être présents auprès du grand public, via des partenariats comme avec celui du HAC. On essaie autant que possible d’avoir un stand de sensibilisation sur chaque manifestation. Il s’agit d’informer notamment sur la campagne de dépistage organisée : on n’est qu’à 50 % de participation en Normandie. Tout le monde le sait mais tout le monde ne le fait pas ! La tranche d’âge ciblée est entre 50 et 74 ans, parce que c’est celle où il y a le plus de risques de développer un cancer du sein. Toutes les femmes de cette tranche reçoivent tous les deux ans une invitation à aller faire une mammographie prise en charge par la Sécurité sociale. Il faut savoir que neuf cancers sur dix sont guéris s’ils sont dépistés tôt. Il y a aussi une attention à porter sur les facteurs de risques, le tabac, l’alcool, la sédentarité. Dans notre discours, on prône aussi l’importance de faire du sport, d’avoir une hygiène alimentaire respectable.
Quelles seront les actions menées lors du match HAC – Lyon ?
Il y aura un stand de sensibilisation, avec des quiz permettant de faire passer les messages, de corriger les idées reçues… Il y aura des petits cadeaux à gagner. En parallèle, il y a aura un bus de sensibilisation à l’autopalpation. Il permettra d’expliquer aux femmes comment s’examiner la poitrine entre deux examens, à partir de 25 ans. Qui est l’âge à partir duquel où, normalement une femme doit être suivie par un gynécologue ou un médecin. Ce bus nous permet de transmettre qu’il est important de connaître sa poitrine, afin de déceler rapidement une anomalie : pas forcément une boule mais un changement sur l’aspect physique de ses seins, une petite déformation…
On suppose que ce partenariat avec le HAC est important pour vous…
Il est bien sûr intéressant de par la visibilité que ça peut nous offrir. Le stade plein nous permet dans l’absolu d’informer 25000 personnes ! De l’extérieur, on peut aussi se demander quel rapport existe entre le HAC et le cancer du sein, mais cela montre que quel que soit son secteur d’activités, on peut faire quelque chose et aider à sensibiliser. Faire se rapprocher ainsi les domaines est hyper intéressant.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
Je suis directrice du comité de Seine-Maritime, engagée auprès de la Ligue contre le cancer depuis plus de trente ans. C’est un travail passionnant qui implique beaucoup de polyvalence, avec évidemment toute une partie gestion administration, mais aussi une partie correspondant aux missions de la Ligue. Outre le financement de la recherche scientifique, que je coordonne pour la Normandie, il y a une mission d’accompagnement des malades, avec des espaces dédiés. Nous avons aussi une commission sociale qui apporte des secours financiers, des aides intervenant au-delà des dispositifs de droit commun. Il y a également une offre de soins de support et de bien-être, totalement gratuite, avec du soutien psychologique, de la socio-esthétique, de la sophrologie, de l’art thérapie… Et aussi des activités physiques pendant et après les traitements grâce à un partenariat avec OncoNormandie. Ensuite, nous avons une mission de défense de la parole des patients, des malades, pour faire remonter les éventuelles difficultés de prise en charge dans le parcours de soins. Enfin, nous avons une mission d’information, de prévention et de dépistage, et c’est là qu’intervient la sensibilisation, notamment ce qui est lié à Octobre Rose.
Pouvez-vous nous en dire plus sur Octobre Rose ?
Le mois d’octobre tient une grande part dans notre mission de prévention, d’information, de sensibilisation au dépistage, puisque c’est le mois où nous sommes le plus sollicités pour être présents auprès du grand public, via des partenariats comme avec celui du HAC. On essaie autant que possible d’avoir un stand de sensibilisation sur chaque manifestation. Il s’agit d’informer notamment sur la campagne de dépistage organisée : on n’est qu’à 50 % de participation en Normandie. Tout le monde le sait mais tout le monde ne le fait pas ! La tranche d’âge ciblée est entre 50 et 74 ans, parce que c’est celle où il y a le plus de risques de développer un cancer du sein. Toutes les femmes de cette tranche reçoivent tous les deux ans une invitation à aller faire une mammographie prise en charge par la Sécurité sociale. Il faut savoir que neuf cancers sur dix sont guéris s’ils sont dépistés tôt. Il y a aussi une attention à porter sur les facteurs de risques, le tabac, l’alcool, la sédentarité. Dans notre discours, on prône aussi l’importance de faire du sport, d’avoir une hygiène alimentaire respectable.
Quelles seront les actions menées lors du match HAC – Lyon ?
Il y aura un stand de sensibilisation, avec des quiz permettant de faire passer les messages, de corriger les idées reçues… Il y aura des petits cadeaux à gagner. En parallèle, il y a aura un bus de sensibilisation à l’autopalpation. Il permettra d’expliquer aux femmes comment s’examiner la poitrine entre deux examens, à partir de 25 ans. Qui est l’âge à partir duquel où, normalement une femme doit être suivie par un gynécologue ou un médecin. Ce bus nous permet de transmettre qu’il est important de connaître sa poitrine, afin de déceler rapidement une anomalie : pas forcément une boule mais un changement sur l’aspect physique de ses seins, une petite déformation…
On suppose que ce partenariat avec le HAC est important pour vous…
Il est bien sûr intéressant de par la visibilité que ça peut nous offrir. Le stade plein nous permet dans l’absolu d’informer 25000 personnes ! De l’extérieur, on peut aussi se demander quel rapport existe entre le HAC et le cancer du sein, mais cela montre que quel que soit son secteur d’activités, on peut faire quelque chose et aider à sensibiliser. Faire se rapprocher ainsi les domaines est hyper intéressant.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
32ème journée
04/05/2025 Auxerre - HAC
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC