22 novembre 2017
Ozer Ozdemir : "Le Havre est ma ville et je suis très fier d’être là"
C'est fait, Ozer Ozdemir, ce havrais de 19 ans arrivé au club à l'âge de 6 ans passera pro l'été prochaine. Nous avons recueilli ses premières impressions après la signature de ce contrat qu'il attendait avec impatience !

Ozer, cela faisait un moment que tu attendais cet événement, la signature de ton premier contrat professionnel. C’est chose faite, tu passeras pro dès cet été et cela pour les trois prochaines saisons.
Oui, c’est vrai que cela faisait longtemps que j’attendais ça, comme tout jeune footballeur je rêvais de passer professionnel. Mais je sais que ce n’est pas une fin en soi, il y a encore beaucoup de travail devant moi et plein de choses à mettre en œuvre.
Tu la pressentais un peu, cette proposition ? Oswald Tanchot avait laissé entrevoir qu’il comptait sur toi, notamment par tes apparitions assez régulières dans le groupe depuis le début du championnat.
Oui, c’est vrai que depuis la première journée où j’avais été appelé dans le groupe pour le déplacement à Tours, je sentais que cela allait finir par arriver. Après, quand j’ai goûté à la Ligue 2 avec le match face à Auxerre et les rebondissements qu’il y a eu dans cette rencontre, cela m’a procuré de telles émotions que j’attendais ce moment avec de plus en plus d’impatience.
En plus, tu voyais ces derniers mois tes partenaires de formation signer les uns après les autres des contrats pros, on pense notamment à Rafik Guitane, Pape Gueye, mais aussi et un peu plus tôt à Harold Moukoudi, Alimami Gory et Nathaël Julan. C’est bien de franchir ce palier avec eux ?
Nous sommes tous très heureux de nous retrouver là avec les pros et j’espère qu’après moi il y en aura encore d’autres. Entre nous, on s’appelle « la Cavée » ! D’ailleurs, de se retrouver tous ici ça rappelle un peu l’ambiance de la Cavée-Verte. C’est super de passer de joueur en formation à professionnel avec les copains du centre, c’est aussi plus facile pour s’intégrer au milieu pro.
As-tu douté par moments, as-tu pensé que tu pourrais ne jamais te voir proposer ce contrat pro ?
Oui c’est certain, il y a eu des périodes de doute, mais la vie de footballeur est faite de doutes. Il faut toujours se remettre en question et continuer à travailler, il n’y a que cela qui paie et ça paie pour moi aujourd’hui. Rien n’a été facile mais c’est de cette manière que l’on apprécie encore plus ce qui nous arrive.
Tu es au HAC depuis 13 ans, tu connais donc le club à tous les niveaux. Passer pro au HAC, pour toi c’était une évidence ?
Bien sûr, c’est une évidence, Le Havre est ma ville, j’y suis né et je suis très fier d’être là. Je suis arrivé très jeune au club, j’y ai gravi tous les échelons, peu de joueurs ont ce parcours au HAC, et ça j’en suis super fier !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
Oui, c’est vrai que cela faisait longtemps que j’attendais ça, comme tout jeune footballeur je rêvais de passer professionnel. Mais je sais que ce n’est pas une fin en soi, il y a encore beaucoup de travail devant moi et plein de choses à mettre en œuvre.
Tu la pressentais un peu, cette proposition ? Oswald Tanchot avait laissé entrevoir qu’il comptait sur toi, notamment par tes apparitions assez régulières dans le groupe depuis le début du championnat.
Oui, c’est vrai que depuis la première journée où j’avais été appelé dans le groupe pour le déplacement à Tours, je sentais que cela allait finir par arriver. Après, quand j’ai goûté à la Ligue 2 avec le match face à Auxerre et les rebondissements qu’il y a eu dans cette rencontre, cela m’a procuré de telles émotions que j’attendais ce moment avec de plus en plus d’impatience.
En plus, tu voyais ces derniers mois tes partenaires de formation signer les uns après les autres des contrats pros, on pense notamment à Rafik Guitane, Pape Gueye, mais aussi et un peu plus tôt à Harold Moukoudi, Alimami Gory et Nathaël Julan. C’est bien de franchir ce palier avec eux ?
Nous sommes tous très heureux de nous retrouver là avec les pros et j’espère qu’après moi il y en aura encore d’autres. Entre nous, on s’appelle « la Cavée » ! D’ailleurs, de se retrouver tous ici ça rappelle un peu l’ambiance de la Cavée-Verte. C’est super de passer de joueur en formation à professionnel avec les copains du centre, c’est aussi plus facile pour s’intégrer au milieu pro.
As-tu douté par moments, as-tu pensé que tu pourrais ne jamais te voir proposer ce contrat pro ?
Oui c’est certain, il y a eu des périodes de doute, mais la vie de footballeur est faite de doutes. Il faut toujours se remettre en question et continuer à travailler, il n’y a que cela qui paie et ça paie pour moi aujourd’hui. Rien n’a été facile mais c’est de cette manière que l’on apprécie encore plus ce qui nous arrive.
Tu es au HAC depuis 13 ans, tu connais donc le club à tous les niveaux. Passer pro au HAC, pour toi c’était une évidence ?
Bien sûr, c’est une évidence, Le Havre est ma ville, j’y suis né et je suis très fier d’être là. Je suis arrivé très jeune au club, j’y ai gravi tous les échelons, peu de joueurs ont ce parcours au HAC, et ça j’en suis super fier !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier