14 avril 2021
Romain Basque : d’une licence à l’autre…
C’est la facette la moins connue de Romain Basque : le milieu de terrain du HAC est un passionné de pétanque, passionné au point d’être aussi licencié dans ce sport. Une passion à laquelle il se consacre aussi souvent que son temps libre le lui permet.

Romain, les supporters connaissent le joueur du HAC que tu es, en revanche peu de monde est au courant de ta passion pour la pétanque !
Pour moi, la pétanque est plus qu’un loisir, je suis licencié au même titre que pour le football. C’est une passion que j’ai un peu plus de mal à pratiquer cette année en raison des matchs qui se jouent maintenant le samedi. Mais jusqu’à la saison dernière et nos matchs les vendredis, je participais régulièrement les samedis après-midi à des tournois. Cela permet de changer de passion tout en restant dans le domaine du sport.
Comment t’es venue cette passion ?
Cela m’est venu par des membres de ma famille, notamment l’un de mes oncles qui a lui aussi une licence. Mes cousins y jouent, mes neveux y jouent, c’est vraiment une activité partagée par presque toute la famille. Au début, lorsque j’avais onze ou douze ans, je jouais avec eux le dimanche pour le plaisir lorsqu’il leur manquait un joueur, et aujourd’hui c’est devenu « un kif », que ce soit de participer, d’aller voir des tournois ou de les jouer. J’admire ce sport. La pétanque, c’est très convivial, tu viens avec trois amis, tu trouves tout de suite des joueurs avec qui jouer et passer de bons moments.
Comment situes-tu la pétanque par rapport au football ?
Ce sont deux sports différents, mais il y a des similitudes sur certains points, il y a un besoin important de précision. Il y a aussi la pression, parfois très forte lorsqu’il y a des mènes importantes, il faut savoir la gérer, les gens te scrutent avant de tirer. C’est bien, cela m’aide pour le foot.
Pourquoi avoir fait le choix de devenir licencié dans la pétanque ?
Je suis licencié à l’ES Aumale Pétanque, cela permet de pousser la passion encore plus loin, également de participer à des tournois partout en France. C’est aussi prétexte à voyager, je fais cela avec deux bons amis, nous passons vraiment de bons moments.
Cela va-t-il jusqu’à dicter la destination de tes vacances ?
Presque, je pars souvent dans le sud pour les vacances car il y a beaucoup de tournois là-bas l’été. L’année dernière, nous sommes descendus à Sainte-Maxime où ça joue beaucoup à la pétanque.
C’est quelque chose que tu continueras au-delà de ta carrière de footballeur ?
C’est certain, je continuerai à jouer, j’aurai peut-être plus de temps pour cela. J’aime l’esprit convivial qui entoure ces tournois. Cela permet de passer de très bons moments.
Et as-tu trouvé des partenaires de pétanque parmi les joueurs du groupe ?
Au départ, je me suis fait chambrer, car pour obtenir ma licence de pétanque, j’ai dû aller voir le médecin de l’équipe, mais en dehors de cela, cela arrive de temps en temps de faire des parties avec Victor Lekhal, Alex Bonnet ou Mathieu Gorgelin. Quand on part en stage aussi, cela nous arrive de jouer.
Un joueur qui participe régulièrement à des tournois arrive-t-il à garder une notion de loisir avec ce sport ?
J’ai horreur de perdre, aussi bien en compétition que lorsque je joue en famille. Même en famille, c’est du sérieux, c’est dans la culture familiale ! Aujourd’hui, je deviens un peu l’instructeur de mes neveux qui débutent, j’ai un petit cousin qui a été champion de Normandie. Comme je l’ai déjà dit, c’est une passion qui touche toute la famille, des tout petits aux plus grands.
Ton plus beau coup ?
Je pense que ce sont des parties remportées 13-0, cela veut dire que tu as écrasé tes adversaires !
Et ton pire souvenir ?
Je pense que c’est lorsque j’ai pris un 13-0 (rire) ou quand tu tires ta propre boule dans un moment clé, là, c’est très énervant !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
Pour moi, la pétanque est plus qu’un loisir, je suis licencié au même titre que pour le football. C’est une passion que j’ai un peu plus de mal à pratiquer cette année en raison des matchs qui se jouent maintenant le samedi. Mais jusqu’à la saison dernière et nos matchs les vendredis, je participais régulièrement les samedis après-midi à des tournois. Cela permet de changer de passion tout en restant dans le domaine du sport.
Comment t’es venue cette passion ?
Cela m’est venu par des membres de ma famille, notamment l’un de mes oncles qui a lui aussi une licence. Mes cousins y jouent, mes neveux y jouent, c’est vraiment une activité partagée par presque toute la famille. Au début, lorsque j’avais onze ou douze ans, je jouais avec eux le dimanche pour le plaisir lorsqu’il leur manquait un joueur, et aujourd’hui c’est devenu « un kif », que ce soit de participer, d’aller voir des tournois ou de les jouer. J’admire ce sport. La pétanque, c’est très convivial, tu viens avec trois amis, tu trouves tout de suite des joueurs avec qui jouer et passer de bons moments.
Comment situes-tu la pétanque par rapport au football ?
Ce sont deux sports différents, mais il y a des similitudes sur certains points, il y a un besoin important de précision. Il y a aussi la pression, parfois très forte lorsqu’il y a des mènes importantes, il faut savoir la gérer, les gens te scrutent avant de tirer. C’est bien, cela m’aide pour le foot.
Pourquoi avoir fait le choix de devenir licencié dans la pétanque ?
Je suis licencié à l’ES Aumale Pétanque, cela permet de pousser la passion encore plus loin, également de participer à des tournois partout en France. C’est aussi prétexte à voyager, je fais cela avec deux bons amis, nous passons vraiment de bons moments.
Cela va-t-il jusqu’à dicter la destination de tes vacances ?
Presque, je pars souvent dans le sud pour les vacances car il y a beaucoup de tournois là-bas l’été. L’année dernière, nous sommes descendus à Sainte-Maxime où ça joue beaucoup à la pétanque.
C’est quelque chose que tu continueras au-delà de ta carrière de footballeur ?
C’est certain, je continuerai à jouer, j’aurai peut-être plus de temps pour cela. J’aime l’esprit convivial qui entoure ces tournois. Cela permet de passer de très bons moments.
Et as-tu trouvé des partenaires de pétanque parmi les joueurs du groupe ?
Au départ, je me suis fait chambrer, car pour obtenir ma licence de pétanque, j’ai dû aller voir le médecin de l’équipe, mais en dehors de cela, cela arrive de temps en temps de faire des parties avec Victor Lekhal, Alex Bonnet ou Mathieu Gorgelin. Quand on part en stage aussi, cela nous arrive de jouer.
Un joueur qui participe régulièrement à des tournois arrive-t-il à garder une notion de loisir avec ce sport ?
J’ai horreur de perdre, aussi bien en compétition que lorsque je joue en famille. Même en famille, c’est du sérieux, c’est dans la culture familiale ! Aujourd’hui, je deviens un peu l’instructeur de mes neveux qui débutent, j’ai un petit cousin qui a été champion de Normandie. Comme je l’ai déjà dit, c’est une passion qui touche toute la famille, des tout petits aux plus grands.
Ton plus beau coup ?
Je pense que ce sont des parties remportées 13-0, cela veut dire que tu as écrasé tes adversaires !
Et ton pire souvenir ?
Je pense que c’est lorsque j’ai pris un 13-0 (rire) ou quand tu tires ta propre boule dans un moment clé, là, c’est très énervant !
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
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17/05/2025 Strasbourg - HAC