25 janvier 2025
Yanis Zouaoui : "Je prends confiance !"
Arrivé cet été de Martigues où il évoluait en National, Yanis Zouaoui s’est installé sur le côté gauche de la défense. Rencontre avec un joueur de caractère découvrant la Ligue 1 à 26 ans…

Yanis, ce point arraché à Reims dimanche dernier a dû faire du bien dans les têtes !
Oui, il a fait du bien au groupe, à toute l’équipe. Il montre qu’on peut valider ce qu’on fait à l’entraînement, qu’on prend conscience petit à petit de ce qu’on peut réaliser tous ensemble. Ça nous prouve que, dans la mentalité, nous sommes prêts à combattre les uns pour les autres. Dimanche, on perdait, mais j’ai senti pour la première fois qu’il n’y avait pas d’affolement, nous sommes restés solides, et sur le moindre petit truc, nous pouvions revenir au score. Et c’est ce qui s’est passé.
Cela permet d’aborder le match contre Brest, un club qui performe en Ligue des Champions, avec un peu plus de confiance.
Ce n’est pas par rapport à Brest, mais par rapport à nous ! De jour en jour, de semaine en semaine, il y a du progrès, on aime travailler ensemble, on suit le même objectif. Ce week-end, on espère faire un bon match et continuer sur cette lancée.
Comment juges-tu ta propre première partie de saison ?
Je me suis vite adapté au groupe, et j’ai beaucoup été aidé par le staff, le coach, par tous les gens du club et les joueurs. Ça m’a facilité la tâche, j’ai été très bien accueilli. Je me suis mis au travail avec tout le monde et j’essaie d’apporter un petit truc en plus tout en essayant de m’améliorer.
Tu en es déjà à deux passes décisives après avoir disputé huit matches. C’est un bon début pour quelqu’un qui découvre la Ligue 1 !
Oui ! En général, je réussis à 90 % mes coups de pied arrêtés, mais par exemple, dimanche, quand je suis arrivé à la mi-temps, j’en avais raté à peu près la moitié ! A la pause, le discours du coach m’a redonné confiance, et je crois que sur le premier que je tire en deuxième mi-temps, ça amène le but. Ça m’a fait du bien mentalement, et je suis content.
Quelles sont les principales différences entre la Ligue 1 et le National, niveau auquel tu évoluais ces dernières saisons ?
Au début, sur un match, je ne le sentais pas trop, puisque je n’enchaînais pas. Mais quand tu enchaînes, tu vois que les matches ne se ressemblent pas, contrairement au National où j’avais une façon de jouer, je la gardais, je savais ce que je faisais. Là, je dois garder ce que je sais faire mais je dois m’adapter à comment on joue, et avec qui. Après, sur la moindre erreur de concentration, de placement ou technique, ça peut vite faire mal. Je sais que je progresse, on m’aide beaucoup sur cet aspect-là, on travaille beaucoup à l’entraînement, on travaille bien, et ça me permet de prendre confiance et d’améliorer les points qui sont défaillants chez moi.
Le HAC reste donc le bon choix pour toi ?
J’ai voulu venir ici et je ne le regretterai jamais ! C’est un club où on bosse très bien, où on peut vite se développer personnellement, et où on donne la chance aux joueurs qui travaillent et qui méritent. Peut-être que, dans un autre club, ça ne se serait pas passé comme ça. Ici, on m’a très bien accueilli, sans préjugés, on m’a jugé sur ce que je faisais. Ça m’a poussé à prendre confiance, à me sentir bien.
Tu as un parcours atypique. Y changerais-tu quelque chose ?
J’aurais aimé connaître le niveau professionnel un peu plus tôt, parce que j’aurais progressé plus vite. Mais par où je suis passé, ça m’a forgé un caractère. C’est ce caractère qui fait que toutes ces choses m’arrivent aujourd’hui. Il n’y a pas de hasard. J’ai trouvé ici de bonnes personnes et je suis très content de mon choix. C’est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis que je joue au foot.
Qu’est-ce qui a changé pour toi en arrivant ici ?
Oh, j’avais déjà mes habitudes, je suis très proche de ma famille. J’ai un cercle d’amis limité, c’est comme si c’étaient mes frères, ils me donnent de la force tous les jours. C’est aussi pour eux que je fais tout cela. C’est une fierté par exemple pour ma mère, et à chaque fois que je commence un match, je pense à elle. Pareil quand je finis, le premier coup de fil est pour mes parents, ma femme, mes amis. On parle du match, comment j’ai été, comment ça s’est passé. Voir leur fierté me fait énormément plaisir !
Par rapport à certains footballeurs, arrivés très tôt dans le monde pro, tu as la chance d’avoir un cercle d’amis qui est vrai !
J’ai commencé avec certaines personnes, et aujourd’hui, je suis toujours avec elles ! Mon cercle est très limité, ça m’aide beaucoup. Je sais qui est là pour moi, et en retour ils savent que je suis là pour eux. Ma femme, mes amis, mon frère, mes sœurs, mes parents, je suis prêt à tout pour eux ! Ils ont fait beaucoup de sacrifices pour moi et je suis content de leur rendre aujourd’hui, et j’espère pouvoir leur rendre encore plus !
Ils sont tous dans le Sud, ce n’est pas trop difficile d’être loin d’eux ?
Oui, ils sont tous dans le Sud, je ne suis monté qu’avec ma femme. C’est d’ailleurs un peu plus dur pour elle. J’ai choisi ce métier, je savais que cela pouvait amener à partir loin du domicile familial. Mais ce n’est pas compliqué, je sais pourquoi je suis là, eux aussi le savent. Pendant les jours de repos, les trêves internationales, je redescends les voir, et c’est comme si je ne les avais jamais quittés. Quand je rentre à la maison, rien n’a changé !
Et tu en profites pour emmagasiner un peu de soleil !
(rires) Oui, parce qu’ici, on ne le voit pas beaucoup !
Justement, comment te sens-tu ici en dehors du terrain ?
Je me sens très bien ! Les supporters donnent beaucoup d’amour au club, aux joueurs, ils m’ont beaucoup soutenu, j’ai reçu beaucoup de messages sur les réseaux de gens qui sont contents de moi, et ça me donne encore plus de confiance, je suis content. Sinon, dans la vie de tous les jours, l’hiver, c’est un peu dur ! (rires) Mais l’été, quand je suis arrivé ici, ça ne m’a pas déplu ! La plage, les restos, le monde… ça ne m’a pas dépaysé !
Tu es comment dans la vie ?
Je suis casanier ! J’aime me sentir bien à la maison. Quand je suis arrivé, j’ai mis deux mois et demi ou trois mois à trouver vraiment cet endroit qui me plaise bien. Si demain je dois accueillir mes parents, il fallait que ce soit grand, bien pour eux. De temps en temps, ma femme et moi sortons faire un resto, une activité, mais la plupart du temps je reste à la maison. Je regarde des films, des séries, et je suis au téléphone avec mes parents, ma famille…
Quels genres de films ou de séries regardes-tu ?
J’aime les séries à suspense. J’ai regardé « Vikings », « Peaky Blinders ». Je suis plus séries que films ! Mais parfois, je regarde des comédies.
Et aimes-tu les autres sports ?
Je n’en pratique pas. Même le foot, en dehors de mes matches ou de mes entraînements, je ne joue jamais, même quand je redescends dans le Sud. En dehors, je regarde beaucoup l’UFC, les grandes affiches, du foot, aussi. Je sais qu’il y a beaucoup de joueurs qui regardent le basket, mais moi, je ne suis pas fan.
Dans le foot, avais-tu des idoles quand tu étais petit ?
J’ai grandi sous l’ère Cristiano Ronaldo ! Quand il était à United, j’aimais United, quand il était au Real Madrid, j’aimais le Real Madrid… C’est quand il est parti de Madrid qu’en fait j’ai compris que j’étais fan de lui ! (rires) Maintenant, quand il y a un classico, je m’en fous si Madrid perd contre le Barça, alors que quand il y avait Ronaldo, je voulais que Madrid gagne ! Cristiano Ronaldo, c’est une source d’inspiration dans tout ce qu’il fait. Je me retrouve dans son état d’esprit, ses prises de parole, ses convictions… C’est un joueur qui m’inspire, même si j’en suis très, très, très, très loin ! Mais il a des idées qui me plaisent bien.
Et en dehors du sport, y a-t-il des gens que tu admires, que tu aimerais rencontrer ?
Franchement, non… Je n’ai que ma famille. J’ai cinq ou six potes qui sont comme mes frères. Là, je ne suis pas là, ce sont eux qui veillent sur ma famille, sur mon frère. Mais non, je ne suis pas quelqu’un qui va vers de nouvelles rencontres. Même si j’ai rencontré ici des gens avec qui je m’entends très, très bien, et qu’aujourd’hui je porte dans mon cœur. Je sais que je garderai contact avec ces personnes-là et que je les reverrai sûrement.
Si tu n’avais pas été footballeur, qu’aurais-tu fait ?
J’étais très bon à l’école, j’ai sauté une classe, j’ai eu mon bac ES avec mention, j’ai fait un an de faculté en économie, j’ai validé ma première année, puis j’ai arrêté parce que j’ai signé mon premier contrat. A l’école, j’avais des facilités, j’étais fort en mathématiques, en économie, mais j’y allais sans savoir ce que je voulais faire après. Moi, j’avais le foot dans la tête, j’ai toujours voulu réussir dans ce domaine. J’y consacrais vraiment tout mon temps, je ne voyais mon futur que dans ça ! Alors, je ne suis jamais projeté vers un métier. La vie est dure, c’est la réalité des choses. Quand je redescends chez moi, je vois beaucoup de choses. Pour moi, le foot, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
Oui, il a fait du bien au groupe, à toute l’équipe. Il montre qu’on peut valider ce qu’on fait à l’entraînement, qu’on prend conscience petit à petit de ce qu’on peut réaliser tous ensemble. Ça nous prouve que, dans la mentalité, nous sommes prêts à combattre les uns pour les autres. Dimanche, on perdait, mais j’ai senti pour la première fois qu’il n’y avait pas d’affolement, nous sommes restés solides, et sur le moindre petit truc, nous pouvions revenir au score. Et c’est ce qui s’est passé.
Cela permet d’aborder le match contre Brest, un club qui performe en Ligue des Champions, avec un peu plus de confiance.
Ce n’est pas par rapport à Brest, mais par rapport à nous ! De jour en jour, de semaine en semaine, il y a du progrès, on aime travailler ensemble, on suit le même objectif. Ce week-end, on espère faire un bon match et continuer sur cette lancée.
Comment juges-tu ta propre première partie de saison ?
Je me suis vite adapté au groupe, et j’ai beaucoup été aidé par le staff, le coach, par tous les gens du club et les joueurs. Ça m’a facilité la tâche, j’ai été très bien accueilli. Je me suis mis au travail avec tout le monde et j’essaie d’apporter un petit truc en plus tout en essayant de m’améliorer.
Tu en es déjà à deux passes décisives après avoir disputé huit matches. C’est un bon début pour quelqu’un qui découvre la Ligue 1 !
Oui ! En général, je réussis à 90 % mes coups de pied arrêtés, mais par exemple, dimanche, quand je suis arrivé à la mi-temps, j’en avais raté à peu près la moitié ! A la pause, le discours du coach m’a redonné confiance, et je crois que sur le premier que je tire en deuxième mi-temps, ça amène le but. Ça m’a fait du bien mentalement, et je suis content.
Quelles sont les principales différences entre la Ligue 1 et le National, niveau auquel tu évoluais ces dernières saisons ?
Au début, sur un match, je ne le sentais pas trop, puisque je n’enchaînais pas. Mais quand tu enchaînes, tu vois que les matches ne se ressemblent pas, contrairement au National où j’avais une façon de jouer, je la gardais, je savais ce que je faisais. Là, je dois garder ce que je sais faire mais je dois m’adapter à comment on joue, et avec qui. Après, sur la moindre erreur de concentration, de placement ou technique, ça peut vite faire mal. Je sais que je progresse, on m’aide beaucoup sur cet aspect-là, on travaille beaucoup à l’entraînement, on travaille bien, et ça me permet de prendre confiance et d’améliorer les points qui sont défaillants chez moi.
Le HAC reste donc le bon choix pour toi ?
J’ai voulu venir ici et je ne le regretterai jamais ! C’est un club où on bosse très bien, où on peut vite se développer personnellement, et où on donne la chance aux joueurs qui travaillent et qui méritent. Peut-être que, dans un autre club, ça ne se serait pas passé comme ça. Ici, on m’a très bien accueilli, sans préjugés, on m’a jugé sur ce que je faisais. Ça m’a poussé à prendre confiance, à me sentir bien.
Tu as un parcours atypique. Y changerais-tu quelque chose ?
J’aurais aimé connaître le niveau professionnel un peu plus tôt, parce que j’aurais progressé plus vite. Mais par où je suis passé, ça m’a forgé un caractère. C’est ce caractère qui fait que toutes ces choses m’arrivent aujourd’hui. Il n’y a pas de hasard. J’ai trouvé ici de bonnes personnes et je suis très content de mon choix. C’est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis que je joue au foot.
Qu’est-ce qui a changé pour toi en arrivant ici ?
Oh, j’avais déjà mes habitudes, je suis très proche de ma famille. J’ai un cercle d’amis limité, c’est comme si c’étaient mes frères, ils me donnent de la force tous les jours. C’est aussi pour eux que je fais tout cela. C’est une fierté par exemple pour ma mère, et à chaque fois que je commence un match, je pense à elle. Pareil quand je finis, le premier coup de fil est pour mes parents, ma femme, mes amis. On parle du match, comment j’ai été, comment ça s’est passé. Voir leur fierté me fait énormément plaisir !
Par rapport à certains footballeurs, arrivés très tôt dans le monde pro, tu as la chance d’avoir un cercle d’amis qui est vrai !
J’ai commencé avec certaines personnes, et aujourd’hui, je suis toujours avec elles ! Mon cercle est très limité, ça m’aide beaucoup. Je sais qui est là pour moi, et en retour ils savent que je suis là pour eux. Ma femme, mes amis, mon frère, mes sœurs, mes parents, je suis prêt à tout pour eux ! Ils ont fait beaucoup de sacrifices pour moi et je suis content de leur rendre aujourd’hui, et j’espère pouvoir leur rendre encore plus !
Ils sont tous dans le Sud, ce n’est pas trop difficile d’être loin d’eux ?
Oui, ils sont tous dans le Sud, je ne suis monté qu’avec ma femme. C’est d’ailleurs un peu plus dur pour elle. J’ai choisi ce métier, je savais que cela pouvait amener à partir loin du domicile familial. Mais ce n’est pas compliqué, je sais pourquoi je suis là, eux aussi le savent. Pendant les jours de repos, les trêves internationales, je redescends les voir, et c’est comme si je ne les avais jamais quittés. Quand je rentre à la maison, rien n’a changé !
Et tu en profites pour emmagasiner un peu de soleil !
(rires) Oui, parce qu’ici, on ne le voit pas beaucoup !
Justement, comment te sens-tu ici en dehors du terrain ?
Je me sens très bien ! Les supporters donnent beaucoup d’amour au club, aux joueurs, ils m’ont beaucoup soutenu, j’ai reçu beaucoup de messages sur les réseaux de gens qui sont contents de moi, et ça me donne encore plus de confiance, je suis content. Sinon, dans la vie de tous les jours, l’hiver, c’est un peu dur ! (rires) Mais l’été, quand je suis arrivé ici, ça ne m’a pas déplu ! La plage, les restos, le monde… ça ne m’a pas dépaysé !
Tu es comment dans la vie ?
Je suis casanier ! J’aime me sentir bien à la maison. Quand je suis arrivé, j’ai mis deux mois et demi ou trois mois à trouver vraiment cet endroit qui me plaise bien. Si demain je dois accueillir mes parents, il fallait que ce soit grand, bien pour eux. De temps en temps, ma femme et moi sortons faire un resto, une activité, mais la plupart du temps je reste à la maison. Je regarde des films, des séries, et je suis au téléphone avec mes parents, ma famille…
Quels genres de films ou de séries regardes-tu ?
J’aime les séries à suspense. J’ai regardé « Vikings », « Peaky Blinders ». Je suis plus séries que films ! Mais parfois, je regarde des comédies.
Et aimes-tu les autres sports ?
Je n’en pratique pas. Même le foot, en dehors de mes matches ou de mes entraînements, je ne joue jamais, même quand je redescends dans le Sud. En dehors, je regarde beaucoup l’UFC, les grandes affiches, du foot, aussi. Je sais qu’il y a beaucoup de joueurs qui regardent le basket, mais moi, je ne suis pas fan.
Dans le foot, avais-tu des idoles quand tu étais petit ?
J’ai grandi sous l’ère Cristiano Ronaldo ! Quand il était à United, j’aimais United, quand il était au Real Madrid, j’aimais le Real Madrid… C’est quand il est parti de Madrid qu’en fait j’ai compris que j’étais fan de lui ! (rires) Maintenant, quand il y a un classico, je m’en fous si Madrid perd contre le Barça, alors que quand il y avait Ronaldo, je voulais que Madrid gagne ! Cristiano Ronaldo, c’est une source d’inspiration dans tout ce qu’il fait. Je me retrouve dans son état d’esprit, ses prises de parole, ses convictions… C’est un joueur qui m’inspire, même si j’en suis très, très, très, très loin ! Mais il a des idées qui me plaisent bien.
Et en dehors du sport, y a-t-il des gens que tu admires, que tu aimerais rencontrer ?
Franchement, non… Je n’ai que ma famille. J’ai cinq ou six potes qui sont comme mes frères. Là, je ne suis pas là, ce sont eux qui veillent sur ma famille, sur mon frère. Mais non, je ne suis pas quelqu’un qui va vers de nouvelles rencontres. Même si j’ai rencontré ici des gens avec qui je m’entends très, très bien, et qu’aujourd’hui je porte dans mon cœur. Je sais que je garderai contact avec ces personnes-là et que je les reverrai sûrement.
Si tu n’avais pas été footballeur, qu’aurais-tu fait ?
J’étais très bon à l’école, j’ai sauté une classe, j’ai eu mon bac ES avec mention, j’ai fait un an de faculté en économie, j’ai validé ma première année, puis j’ai arrêté parce que j’ai signé mon premier contrat. A l’école, j’avais des facilités, j’étais fort en mathématiques, en économie, mais j’y allais sans savoir ce que je voulais faire après. Moi, j’avais le foot dans la tête, j’ai toujours voulu réussir dans ce domaine. J’y consacrais vraiment tout mon temps, je ne voyais mon futur que dans ça ! Alors, je ne suis jamais projeté vers un métier. La vie est dure, c’est la réalité des choses. Quand je redescends chez moi, je vois beaucoup de choses. Pour moi, le foot, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée.
Propos recueillis par Olivia Detivelle
Articles liés
24/01 - Avant HAC - Brest, interviews de Didier Digard et de Mahamadou Diawara

32ème journée
04/05/2025 Auxerre - HAC
33ème journée
10/05/2025 HAC - Marseille
34ème journée
18/05/2025 Strasbourg - HAC