26 février 2014
Avant Istres - HAC, Geoffrey Malfleury : " je ne baisse pas les bras"
Cette saison est définitivement maudite pour Geoffrey Malfleury. Le joueurs qui s'était fracturé le pied en juillet dernier à l'entraînement a ensuite été prêté à Istres le 7 octobre. Alors que tout se passait pour le mieux, il s'est refracturé le pied au même endroit le 17 janvier. C'est donc des tribunes qu'il assistera à la rencontre de vendredi…
Geoffrey, comme en début de saison, te revoici blessé au pied, c’est une nouvelle fracture au même pied que cet été, alors ma première question sera comment vas-tu ? Comment encaisses-tu ce nouvel éloignement des terrains toi qui n’avais pourtant jamais eu encore de gros pépin physique ?
Et bien le moral va bien quand même, c’est vrai que c’est un nouveau coup dur car avant cette blessure, j’étais bien, je faisais de bonnes performances. Il faut rester positif, et je vais faire ce qu’il faut pour revenir avant la fin de la saison. Je tiens le coup, je ne baisse pas les bras.
Comment cette blessure est arrivée ?
La première fracture, je me l’étais faite à Saint-Laurent pendant un entraînement, celle-ci c’est en match face à Brest, j’avais marqué et fait une passe décisive puis est arrivé ce même mauvais appui aux mêmes conséquences, et forcement, la fracture intervient au même endroit qu’en juillet.
Un air de déjà-vu malheureusement ?
Oui c’est ça et c’est malheureux car j’avais vraiment de bonnes performance et j’avais la confiance du staff,
Avant ton arrivée, Istres était au plus mal, ta venue semble coïncider avec le renouveau de cette équipe. Est-ce ton sentiment ?
Oui, c’est vrai, je savais que cette équipe d’Istres jouait un beau jeu, mais que ce qui leur manquait, c’est la finalité devant le but. C’est pour cela qu’ils ont fait appel à moi. Depuis mon arrivée, j’ai essayé de tout donner et c’est vrai que j’ai été en réussite et je pense que dès que l’on s’est mis à gagner, cela a redonné confiance à l’équipe. Je suis plutôt content, mon arrivée ici a été positive pour le club. Maintenant, le chemin est encore long et je suis content que malgré mon absence l’équipe continue à gagner.
L’avenir proche, comment s’écrit-il, ou en es-tu dans tes soins ?
J’ai vu le chirurgien cette semaine, il m’a dit que je pouvais progressivement commencer à m’appuyer sur mon pied pendant deux semaines avec les béquilles, puis après je pourrais commencer à marcher sans. Entre-temps je continue le kiné et les renforcements du mollet, de la cheville et de la cuisse. C’est mon programme jusqu’au 28 mars. Et puisque l’on parle de blessure, je voulais passer un petit message de soutien à Victor (NDLR : Lekhal), j’ai appris pour sa blessure vendredi soir, je voulais lui souhaiter bon courage dans l’épreuve qui l’attend.
Ton équipe a reçu des renforts d’expérience au mercato avec Damien Perrinele et Cyril Jeunechamp ?
Oui ces deux arrivées de joueurs d’expérience nous ont fait du bien.
Sur un plan sportif, ça va plutôt bien pour le FC Istres, peu de faux-pas en 2014 ?
Il y a eu ce match à Lens qui a été le déclic juste avant les vacances. On s’impose 2-1 à Bollaert en jouant bien (NDLR : Geoffrey a marqué le premier but istréen), et cela nous a démontré que l’on pouvait battre n’importe quelle équipe. Après on a fait un faux-pas en coupe début janvier et on a mal rebondi ensuite face à Dijon. Mais depuis sa va beaucoup mieux.
Ensuite, Istres a été confronté à toutes les équipes à la lutte pour le maintien.
Exactement on sait que le championnat est coupé en deux et que l’on fait parti de celui d’en bas alors on sait que ces matches-là, il ne faut pas les perdre.
Et finalement la venue du HAC conclue cette série de matches face à des candidats au maintien ?
Oui c’est vrai, pour nous, passer devant le HAC juste avant de les rencontrer, c’est plutôt bon moralement, mais on sait que ça va être compliqué quand même, je connais bien les joueurs… Mais je sais déjà que ça va être un bon match !
Comme au match aller face à Istres ou tu étais encore Havrais, tu avais assisté à ce match en tribune, cette fois tu es istréen et tu vas encore devoir assister à ce match depuis les gradins. N’est-ce pas un peu frustrant pour toi de ne pas être en mesure de joueur ce match contre ton club ?
Mais totalement, c’est une date que j’attendais avec impatience, c’est la première chose que j’ai faite quand je me suis engagé à Istres, j’ai regardé le calendrier pour voir quand on jouerait ce match face au HAC.
Et vendredi soir, tu seras assis entres deux chaises ?
Là c’est sûr, j’appartiens au HAC, je joue à Istres et normalement je rejoindrais le HAC à la fin de la saison donc mon souhait serait que les deux équipes se maintiennent en Ligue 2 à la fin de la saison.
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
Et bien le moral va bien quand même, c’est vrai que c’est un nouveau coup dur car avant cette blessure, j’étais bien, je faisais de bonnes performances. Il faut rester positif, et je vais faire ce qu’il faut pour revenir avant la fin de la saison. Je tiens le coup, je ne baisse pas les bras.
Comment cette blessure est arrivée ?
La première fracture, je me l’étais faite à Saint-Laurent pendant un entraînement, celle-ci c’est en match face à Brest, j’avais marqué et fait une passe décisive puis est arrivé ce même mauvais appui aux mêmes conséquences, et forcement, la fracture intervient au même endroit qu’en juillet.
Un air de déjà-vu malheureusement ?
Oui c’est ça et c’est malheureux car j’avais vraiment de bonnes performance et j’avais la confiance du staff,
Avant ton arrivée, Istres était au plus mal, ta venue semble coïncider avec le renouveau de cette équipe. Est-ce ton sentiment ?
Oui, c’est vrai, je savais que cette équipe d’Istres jouait un beau jeu, mais que ce qui leur manquait, c’est la finalité devant le but. C’est pour cela qu’ils ont fait appel à moi. Depuis mon arrivée, j’ai essayé de tout donner et c’est vrai que j’ai été en réussite et je pense que dès que l’on s’est mis à gagner, cela a redonné confiance à l’équipe. Je suis plutôt content, mon arrivée ici a été positive pour le club. Maintenant, le chemin est encore long et je suis content que malgré mon absence l’équipe continue à gagner.
L’avenir proche, comment s’écrit-il, ou en es-tu dans tes soins ?
J’ai vu le chirurgien cette semaine, il m’a dit que je pouvais progressivement commencer à m’appuyer sur mon pied pendant deux semaines avec les béquilles, puis après je pourrais commencer à marcher sans. Entre-temps je continue le kiné et les renforcements du mollet, de la cheville et de la cuisse. C’est mon programme jusqu’au 28 mars. Et puisque l’on parle de blessure, je voulais passer un petit message de soutien à Victor (NDLR : Lekhal), j’ai appris pour sa blessure vendredi soir, je voulais lui souhaiter bon courage dans l’épreuve qui l’attend.
Ton équipe a reçu des renforts d’expérience au mercato avec Damien Perrinele et Cyril Jeunechamp ?
Oui ces deux arrivées de joueurs d’expérience nous ont fait du bien.
Sur un plan sportif, ça va plutôt bien pour le FC Istres, peu de faux-pas en 2014 ?
Il y a eu ce match à Lens qui a été le déclic juste avant les vacances. On s’impose 2-1 à Bollaert en jouant bien (NDLR : Geoffrey a marqué le premier but istréen), et cela nous a démontré que l’on pouvait battre n’importe quelle équipe. Après on a fait un faux-pas en coupe début janvier et on a mal rebondi ensuite face à Dijon. Mais depuis sa va beaucoup mieux.
Ensuite, Istres a été confronté à toutes les équipes à la lutte pour le maintien.
Exactement on sait que le championnat est coupé en deux et que l’on fait parti de celui d’en bas alors on sait que ces matches-là, il ne faut pas les perdre.
Et finalement la venue du HAC conclue cette série de matches face à des candidats au maintien ?
Oui c’est vrai, pour nous, passer devant le HAC juste avant de les rencontrer, c’est plutôt bon moralement, mais on sait que ça va être compliqué quand même, je connais bien les joueurs… Mais je sais déjà que ça va être un bon match !
Comme au match aller face à Istres ou tu étais encore Havrais, tu avais assisté à ce match en tribune, cette fois tu es istréen et tu vas encore devoir assister à ce match depuis les gradins. N’est-ce pas un peu frustrant pour toi de ne pas être en mesure de joueur ce match contre ton club ?
Mais totalement, c’est une date que j’attendais avec impatience, c’est la première chose que j’ai faite quand je me suis engagé à Istres, j’ai regardé le calendrier pour voir quand on jouerait ce match face au HAC.
Et vendredi soir, tu seras assis entres deux chaises ?
Là c’est sûr, j’appartiens au HAC, je joue à Istres et normalement je rejoindrais le HAC à la fin de la saison donc mon souhait serait que les deux équipes se maintiennent en Ligue 2 à la fin de la saison.
Propos recueillis par Emmanuel Lelaidier
