7 décembre 2025
HAC - Paris FC (0-0) : encore de la frustration…
Malgré de nombreuses situations, dont un penalty, le HAC n’a pu s’imposer devant le Paris FC…
En plein Avent, ce HAC – Paris FC nous l’évoquait bien, l’avant. Un avant pas si lointain, où les rencontres entre les deux équipes représentaient presque des classiques de Ligue 2. Mais les choses ont changé, bien changé. Et c’est tant mieux ! Et les deux formations du jour ressemblent à ce qu’elles sont devenues : des équipes de Ligue 1 !
Au point que ce rendez-vous inédit parmi l’élite nous a offert un match ouvert malgré des dynamiques similaires peu enjouées. Avec, au bout du compte… aucun but. Assez étonnant au regard des chiffres, à qui l’on fait parfois dire ce qu’on veut mais qui savent articuler à haute voix quelques vérités : 13 tirs partout, 2 cadrés de chaque côté. Et bien évidemment, on regrettera ce penalty non cadré d’Issa Soumaré à la 79e, accordé par M. Buquet après VAR et une faute de Mbow sur Noam Obougou.
Oui, Noam Obougou ! Un gabarit impressionnant mais un bézot de la Cavée âgé de seulement 19 ans, ayant effectué ce soir ses premiers pas en Ligue 1. Des premiers pas plutôt assurés, pleins de culot : outre ce penalty provoqué, pressant, poussant, il ne fut pas loin de transformer un centre de Doucouré passant devant le but de Trapp (86e). L’histoire aurait été superbe…
Mais ce n’est a priori pas encore le temps des contes de Noël… Il faudra faire un peu plus… Mettre plus de justesse, plus de rythme, de vitesse pour que l’efficacité redevienne une de nos alliés et nous permette de nous débarrasser de cette frustration qui nous suit à la trace depuis quelques semaines.
Globalement, la première période fut à connotation parisienne. Si le HAC entamait bien la partie, pressant par Kyeremeh (4e), Samatta (6e), obtenant des corners, tandis qu’une frappe de Rassoul Ndiaye était déviée sur le poteau de Trapp (16e), la connexion 5G entre Maxime Lopez et Ilan Kebbal ne tardait pas à faire naître le danger : le percutant second nommé se montrait très dangereux (9e, 24e), tout comme le Finlandais Ollila, qui touchait les montants (11e, 39e). La mi-temps, pas vraiment en faveur des Hacmen, s’achevait par la blessure d’Ebonog, remplacé par Kechta dans les arrêts de jeu (45e + 1).
Une tête de Samatta de peu à côté (47e) donnait le ton d’une deuxième période beaucoup plus teintée de Ciel&Marine. Sur un bijou de centre de Soumaré, Kechta n’ajustait pas (54e), tandis que Trapp n’y passait pas devant le même Soumaré (56e), que Ndiaye semait la panique dans la surface (57e), et que Samatta voyait cette fois sa tête heurter la transversale (62e) ! Si Nego réalisait l’intervention parfaite devant Ikoné dans la surface (71e), l’entrée d’Obougou (73e), déjà évoquée plus haut, aurait donc pu s’avérer décisive. Il n’en fut rien, et, après cet épisode du penalty raté, les hommes de Stéphane Gilli se créèrent trois grosses situations : deux par Alimami Gory (on n’est jamais trahi que par les siens !), aux 82e et 87e, et une par Dicko (90e + 3). Mais c’est donc sur un score vierge que M. Buquet renvoyait les deux équipes aux vestiaires.
Quatorzièmes, avec 15 pts, nos Ciel&Marine possèdent quatre longueurs d’avance sur la zone rouge. Même si, ce soir, il y a déception, il faudrait vraisemblablement manquer de mémoire pour voir l’avenir comme un linceul… Rendez-vous dimanche à Lyon (coup d’envoi à 15 h) afin de clore cette année 2025 de Ligue 1.
O.D.
Au point que ce rendez-vous inédit parmi l’élite nous a offert un match ouvert malgré des dynamiques similaires peu enjouées. Avec, au bout du compte… aucun but. Assez étonnant au regard des chiffres, à qui l’on fait parfois dire ce qu’on veut mais qui savent articuler à haute voix quelques vérités : 13 tirs partout, 2 cadrés de chaque côté. Et bien évidemment, on regrettera ce penalty non cadré d’Issa Soumaré à la 79e, accordé par M. Buquet après VAR et une faute de Mbow sur Noam Obougou.
Oui, Noam Obougou ! Un gabarit impressionnant mais un bézot de la Cavée âgé de seulement 19 ans, ayant effectué ce soir ses premiers pas en Ligue 1. Des premiers pas plutôt assurés, pleins de culot : outre ce penalty provoqué, pressant, poussant, il ne fut pas loin de transformer un centre de Doucouré passant devant le but de Trapp (86e). L’histoire aurait été superbe…
Mais ce n’est a priori pas encore le temps des contes de Noël… Il faudra faire un peu plus… Mettre plus de justesse, plus de rythme, de vitesse pour que l’efficacité redevienne une de nos alliés et nous permette de nous débarrasser de cette frustration qui nous suit à la trace depuis quelques semaines.
Globalement, la première période fut à connotation parisienne. Si le HAC entamait bien la partie, pressant par Kyeremeh (4e), Samatta (6e), obtenant des corners, tandis qu’une frappe de Rassoul Ndiaye était déviée sur le poteau de Trapp (16e), la connexion 5G entre Maxime Lopez et Ilan Kebbal ne tardait pas à faire naître le danger : le percutant second nommé se montrait très dangereux (9e, 24e), tout comme le Finlandais Ollila, qui touchait les montants (11e, 39e). La mi-temps, pas vraiment en faveur des Hacmen, s’achevait par la blessure d’Ebonog, remplacé par Kechta dans les arrêts de jeu (45e + 1).
Une tête de Samatta de peu à côté (47e) donnait le ton d’une deuxième période beaucoup plus teintée de Ciel&Marine. Sur un bijou de centre de Soumaré, Kechta n’ajustait pas (54e), tandis que Trapp n’y passait pas devant le même Soumaré (56e), que Ndiaye semait la panique dans la surface (57e), et que Samatta voyait cette fois sa tête heurter la transversale (62e) ! Si Nego réalisait l’intervention parfaite devant Ikoné dans la surface (71e), l’entrée d’Obougou (73e), déjà évoquée plus haut, aurait donc pu s’avérer décisive. Il n’en fut rien, et, après cet épisode du penalty raté, les hommes de Stéphane Gilli se créèrent trois grosses situations : deux par Alimami Gory (on n’est jamais trahi que par les siens !), aux 82e et 87e, et une par Dicko (90e + 3). Mais c’est donc sur un score vierge que M. Buquet renvoyait les deux équipes aux vestiaires.
Quatorzièmes, avec 15 pts, nos Ciel&Marine possèdent quatre longueurs d’avance sur la zone rouge. Même si, ce soir, il y a déception, il faudrait vraisemblablement manquer de mémoire pour voir l’avenir comme un linceul… Rendez-vous dimanche à Lyon (coup d’envoi à 15 h) afin de clore cette année 2025 de Ligue 1.
O.D.
Fiche technique de la rencontre
HAC – Paris FC : 0-0
15e journée de Ligue 1 McDonald’s
Dimanche 7 décembre 2025
Stade Océane
17460 spectateurs
Arbitre : M. Buquet
Avertissements : au Paris FC : M. Lopez (77e), Camara (89e)
HAC : Diaw – Nego, Sangante (cap) (Youte, 84e), Lloris, Zouaoui - Ndiaye (Namli, 84e), Seko, Ebonog (Kechta, 45e + 1) – Kyeremeh (Doucouré, 73e), Samatta (Obougou, 73e), Soumaré.
Non entrés : Mpasi, Koffi, Mambimbi, Mosengo
Ent. : Didier Digard
PARIS FC : Trapp – H. Traoré, Mbow, Otavio, Ollila (De Smet, 72e) – M. Lopez (cap), Marchetti (Gory 66e), A. Camara – Kebbal (Kolodziejczak, 89e), Krasso (Dicko, 72e), Simon (Ikoné, 66e).
Non entrés : Nkambadio, Geubbels, Cafaro, J. Lopez
Ent. : Stéphane Gilli
15e journée de Ligue 1 McDonald’s
Dimanche 7 décembre 2025
Stade Océane
17460 spectateurs
Arbitre : M. Buquet
Avertissements : au Paris FC : M. Lopez (77e), Camara (89e)
HAC : Diaw – Nego, Sangante (cap) (Youte, 84e), Lloris, Zouaoui - Ndiaye (Namli, 84e), Seko, Ebonog (Kechta, 45e + 1) – Kyeremeh (Doucouré, 73e), Samatta (Obougou, 73e), Soumaré.
Non entrés : Mpasi, Koffi, Mambimbi, Mosengo
Ent. : Didier Digard
PARIS FC : Trapp – H. Traoré, Mbow, Otavio, Ollila (De Smet, 72e) – M. Lopez (cap), Marchetti (Gory 66e), A. Camara – Kebbal (Kolodziejczak, 89e), Krasso (Dicko, 72e), Simon (Ikoné, 66e).
Non entrés : Nkambadio, Geubbels, Cafaro, J. Lopez
Ent. : Stéphane Gilli
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