18 mai 2024
Avant HAC - Marseille : un dernier plaisir !
Après une saison majoritairement plaisante, le HAC va chercher à conclure de la meilleure des manières ce championnat de Ligue 1, face à l’OM, dans un stade plein…
« Souffrir par toi n’est pas souffrir » chantait ce bon vieux Julien Clerc… Bon, quand même un peu, n’exagérons rien ! Parce que malgré l’amour porté à nos Ciel&Marine, on a parfois ressenti une légère crispation, notamment récemment avec cette course-poursuite haletante nous ayant opposés à Lorient, puis Metz. Jusqu’à ce presque dénouement de dimanche soir et la défaite des Lorrains à Strasbourg, permettant au HAC d’aborder cette ultime journée avec le sourire. Oh, pas le sourire béat du repu, du bienheureux, non, le sourire satisfait de celui qui est en passe de réussir son pari… En passe parce que ce n’est pas tout à fait terminé, la vérité comptable nous obligeant à prendre les chiffres au pied de la lettre… même si le goal-average havrais, supérieur de onze buts à celui des barragistes messins (qui seront, eux, opposés au PSG), conjugué aux trois points d’avance, permet de voir venir ce dernier rendez-vous de la saison face à Marseille avec beaucoup plus de sérénité.
Marseille… Une belle affiche pour conclure cette saison du retour en Ligue 1 ! Deux villes respirant par les ports, liés par les nombreux joueurs et/ou entraîneurs passés par les deux clubs… L’OM, un club populaire un peu partout en France, qui fait qu’une rencontre contre les Phocéens n’est jamais tout à fait comme les autres. Mais pas si différente : elle rapporte trois points. Et nos visiteurs, 8e, les visent, eux qui ont encore une (toute) petite chance de se qualifier pour l’Europe, à condition de l’emporter et que Lens et Lyon baissent pavillon face à Montpellier et Strasbourg, clubs n’ayant plus d’objectifs à remplir. Il nous faudra nous méfier de l’inévitable Aubameyang (16 buts et 6 passes décisives), fils de l’ancien Hacman Pierre Aubame, mais aussi de Ndiaye (3 buts, 3 assists), de Clauss (3 et 2), de Sarr, de Veretout, de Kondogbia… et d’un certain Pape Gueye, bien entendu formé au HAC !
Côté havrais, en plus d’Elysée Logbo, blessé, Yassine Kechta, suspendu, manquera à l’appel. Mais pas de panique, les hommes choisis par Luka Elsner, s’ils ne bouderont pas leur plaisir, ne viendront certainement pas en tongs… Parce qu’il y a une saison à mener à bien, jusqu’au bout, ce qui, quand on y réfléchit, n’est pas un chemin tellement long à parcourir… Nous revenons de loin, la route était mauvaise, mais tant d’années après, tant de chagrins après, nous ne rêvons même pas d’une chaise ! Non ! Nous souhaitons un dernier match de très haut niveau, pour savourer, pour vibrer, pour frémir, pour ressentir, pour chanter jusqu’à la fin de nos voix, pour remercier nos Hacmen, joueurs, staff, dirigeants… Ce qu’ils nous ont offert est inestimable : des souvenirs gravés à jamais et des espoirs en l’avenir… La preuve, comme disait Romain Gary, que tous les rêves ne se cassent pas toujours la gueule…
O.D.
Marseille… Une belle affiche pour conclure cette saison du retour en Ligue 1 ! Deux villes respirant par les ports, liés par les nombreux joueurs et/ou entraîneurs passés par les deux clubs… L’OM, un club populaire un peu partout en France, qui fait qu’une rencontre contre les Phocéens n’est jamais tout à fait comme les autres. Mais pas si différente : elle rapporte trois points. Et nos visiteurs, 8e, les visent, eux qui ont encore une (toute) petite chance de se qualifier pour l’Europe, à condition de l’emporter et que Lens et Lyon baissent pavillon face à Montpellier et Strasbourg, clubs n’ayant plus d’objectifs à remplir. Il nous faudra nous méfier de l’inévitable Aubameyang (16 buts et 6 passes décisives), fils de l’ancien Hacman Pierre Aubame, mais aussi de Ndiaye (3 buts, 3 assists), de Clauss (3 et 2), de Sarr, de Veretout, de Kondogbia… et d’un certain Pape Gueye, bien entendu formé au HAC !
Côté havrais, en plus d’Elysée Logbo, blessé, Yassine Kechta, suspendu, manquera à l’appel. Mais pas de panique, les hommes choisis par Luka Elsner, s’ils ne bouderont pas leur plaisir, ne viendront certainement pas en tongs… Parce qu’il y a une saison à mener à bien, jusqu’au bout, ce qui, quand on y réfléchit, n’est pas un chemin tellement long à parcourir… Nous revenons de loin, la route était mauvaise, mais tant d’années après, tant de chagrins après, nous ne rêvons même pas d’une chaise ! Non ! Nous souhaitons un dernier match de très haut niveau, pour savourer, pour vibrer, pour frémir, pour ressentir, pour chanter jusqu’à la fin de nos voix, pour remercier nos Hacmen, joueurs, staff, dirigeants… Ce qu’ils nous ont offert est inestimable : des souvenirs gravés à jamais et des espoirs en l’avenir… La preuve, comme disait Romain Gary, que tous les rêves ne se cassent pas toujours la gueule…
O.D.
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